Ce qui nous arrive, c’est comme un cancer pris trop tard. Viendra bientôt le moment où un docteur Folamour nous annoncera qu’il ne nous reste plus qu’à mourir « dans la dignité ».

Prenez le cancer de la peau (ça marche avec la plupart des cancers, mais celui-là est le plus démonstratif). Ça commence par un bouton. Si vous consultez rapidement un dermato, il vous dira que ce bouton est en soi inoffensif, mais que vous avez bien fait de venir, parce que si on ne vous en débarrasse pas par une intervention bénigne (brûlure à l’azote), il risque de dégénérer. La deuxième phase, si vous avez attendu trop longtemps un rendez-vous, c’est quand le bouton a muté en carcinome. Il est plus que temps d’opérer, c’est beaucoup plus intrusif, mais avec un peu de chance et quelques séances de rayons, il n’y aura pas de suite. Et puis, troisième phase, vous avez désespérément essayé, sans succès, de trouver un dermato qui veuille bien vous accorder une consultation, vous trainez jusqu’à ce que l’aspect de votre bouton vous ouvre les portes des urgences dermatologiques d’un hôpital (lorsqu’il y en a). Alors, la machine médicale se met enfin en branle, prélèvements, analyses tous azimuts. Un médecin, empreint de gravité, vous annonce enfin la mauvaise nouvelle : votre bouton est un carcinome, mais vous avez trop attendu (humour), le cancer s’est répandu dans tout votre corps, vous êtes envahi de métastases, on va faire le maximum pour que vous souffriez le moins possible. Cela dit, vous avez de la chance, avec la nouvelle loi sur la fin de vie, si vous avez trop mal, vous pourrez choisir de partir en douceur (humour, toujours).
Hé bien mes amis, j’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer : la France en est à la troisième phase du cancer qui la ronge. Les métastases ont envahi tout le corps social, jusque dans les plus petits villages, les campagnes les plus reculées, les prairies les plus verdoyantes, les monts et les vallées les plus inaccessibles. Nos petits cœurs artichauts n’ont pas voulu du remède préventif (trop dur, quasiment inhumain) que nous proposaient des Jean-Marie le Pen, voire des Georges Marchais (oui, vous avez bien lu, Georges Marchais, le secrétaire général du Parti Communiste), qui préconisaient de stopper net l’immigration musulmane, maghrébine ou subsaharienne si nous ne voulions pas disparaître… C’était dans les années 1970, il y a plus de 50 ans, et il y avait environ 300.000 musulmans en France - une paille par rapport à leur nombre actuel -, dont la plupart n’avaient pas vocation à s’installer définitivement... Bien au contraire, nous avons refusé de nous soigner, nous avons laissé l’infection progresser, au nom de l’accueil inconditionnel de tous les miséreux du Monde. Nous avons confié la santé du pays à des charlatans qui ont prétendu guérir le malade avec de la poudre de perlimpinpin… Rien n’a pu nous sortir de notre léthargie compassionnelle, ni la fièvre du voile de Creil en 1989, ni la fracture de la mort de Zyed et Bouna, deux adolescents électrocutés dans un transformateur électrique en fuyant une police qui d’ailleurs ne les poursuivait pas (pour ce qu’on en sait). C’était il y a 20 ans ! Malgré les saccages, perpétrés dans toute la France par des racailles qui se fichaient des deux ados comme de leur premier vol de transistor, il n’y avait eu aucun décès à déplorer (humour) parmi les émeutiers (qui eux-mêmes n’avaient pas tué de policiers ou de pompiers, mais ce n’était pas faute de ne pas avoir essayé)... Nicolas Sarkozy, le ministre de l’intérieur l’avait bien précisé à ses troupes : il fallait à tout prix éviter une « bavure » qui aurait permis au président Chirac et au premier ministre Villepin, ses ennemis intimes, de se débarrasser de lui avant la présidentielle de 2007. 2005 était la dernière chance pour la France de couper net le processus avant le cancer généralisé. Cette chance a été manquée, par absence de courage, par ambition, par mesquinerie, par veulerie, par idéologie (il faut relire les déclarations de toute la Gauche), et la suite, vous la connaissez, la France Orange Mécanique, l’invasion barbare, la soumission qui s’installe sans la moindre résistance.
Il n’y a plus de remède possible. Le cancer va irrémédiablement nous tuer. Les seules mesures qui nous restent, qui ont d’ailleurs été votées par un Parlement plus lucide que l’on croit, sont de deux ordres : aider les enfants à ne pas naître en constitutionnalisant l’avortement et en encourageant les relations homosexuelles ; proposer aux derniers français de souche (comme dirait l’immense démographe Mathieu Kassovitz) de s’euthanasier. Plus de Français, plus de cancer. Une consolation cependant : lorsque le patient meurt, le cancer disparait avec lui.
Pour plus de précisions, une tribune du 19 mai 2022 : L’Islam, ce n’est qu’une question de temps.