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Vous avez fauté... heu... vous avez voté ?

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NJ-Bretagne

Si aujourd’hui des nano technologies permettent d’imaginer des solutions partielles, demain d’autres découvertes, par continuelle évolution à moins d’un cataclysme planétaire, mettront à mal nos raisonnements : affirmer, révéler, résoudre de manière péremptoire quoi que ce soit en balayant ce qui semble provenir de plusieurs milliers d’années d’écart et de crises, frise l’arrogance, parce qu’il me parait assez invraisemblable d’expliquer le transport à grande vitesse à partir d’une brouette tirée par des chiens affamés ou en l’occurrence, comment régler la crise économique mondiale et par delà, celle de l’Europe en ne procédant qu’à des élections d’individus incertains à qui l’on donne quitus pour organiser et règler nos affaires. Ce qui signifie que les conneries humaines se renouvellent de génération en génération et que l’humain ne comprendra jamais rien.
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Mais bon, si çà peut convaincre des sceptiques de la possible existence de solution à travers d’élections, pour ma part, celle du 22 mai 2014 ressemble fort à l’affirmation d’objets non humain en visite sur ou autour de notre planête, la Terre… (Objets Votants Inqualifiables), si nous ne sommes pas nous-même des élus contactés par les ceusses qui les pilotent. Il s’agit donc seulement de spéculations intellectuelles en dehors de révélations économico politiques. C’est certes méritoire en tant qu’effort en ce qui me concerne, tout au moins, mais sans réelle valeur ajoutée aux connaissances du moment par rapport à un phénomène qui montre assez clairement qu’il est bien au delà de celles-ci quand on prend la peine d’étudier sérieusement le dossier par trop nauséabond en informations réelles étant donné les intérêts particuliers en cours nous laissant penser pourquoi bosser comme des dingues, parce que tout çà ressemble à un redoutable traquenard de consommation videuse de porte-monnaie et de baise en lousedoc (se faire avoir par derrière). Mais, quels moments, quel système fabuleux que celui permettant de se laisser aller dans le ravissement luxueux en oubliant les soucis et participant à la mise en place d’un système organisé autour de moins d’argent, je me dis aussi que tout cela ne serait pas réservé qu’à une élite, et que ce serait plutôt une question de choix personnel selon les moyens que chacun pourrait y pourvoir, même si pour beaucoup, ça ne serait qu’une fois dans leur vie. C‘est sans doute la même chose pour les télé réalités, ces espèces de foire techno publicitaires qui attirent les talents par l’espoir des candidats de gagner quelque chose, ou le scandaleux loto où celui qui y gagne le plus n’est pas celui qui a tiré le bon numéro. Mais ces mises en scènes spectaculaires ne tuent pas l’art ni la politique et ses politologues (c’est vraiment dommage pour nous en ce qui concerne ces derniers), elles ne font que l’habiller et camoufler les véritables intentions de prise de pouvoir car « la soupe est bonne, hein, mon colonel  »…

L’histoire des idées, de l’idéologie, des religions, montre même que certains vont généralement plus loin et tentent d’instituer une police de la pensée chargée de ramener les déviants sur le droit chemin et, pour ces hommes, le pouvoir temporel passe avant le destin de l’espèce en imposant radicalement la façon dont on conçoit pour nous notre civilisation (de couillons).

Quelles en sont les conclusions :

Nous avons atteint un point dans l’évolution de l’intelligence humaine où il est plus logique et crédible de suggérer l’existence d’une vie au delà de notre monde que de la nier. Alors pourquoi nous enquiquiner les uns les autres ? Les grands gouvernements le savent… et le nient. Parce que si vous aviez la connaissance que des êtres possèdent – y compris la véritable histoire de notre planète – le système actuel des croyances s’effondrerait en un rien de temps avec le pognon aussi. Le pouvoir même que les gouvernements ont sur la population mondiale pourrait disparaître du jour au lendemain. Des créatures pourraient donc avoir des connaissances très avancées sur ce qu’on pourrait appeler par exemple, l’énergie libre au lieu de nos bases énergétiques extras polluantes. Notre planète et l’univers possédant d’innombrables sources d’énergies, elles, non polluantes dont leur usage pourrait blesser mortellement l’empire dominant en particulier pétrolier de l’économie mondiale ; comme les énergies renouvelables et naturelles (dommage que ceci est un rêve personnel, mais qui sait si ça ne viendra pas un jour ?). Utiliser des sources d’énergie polluantes maintient la totalité d’un système, actuel dans la dépendance des ressources monétaires pour en faire des victimes d’élites manipulatrices. Elites, actives historiquement dans les milieux financiers et marchands, évidemment têtes de pont de ceux qui souhaitent asseoir leur domination via l’économie globalisée en plus de maintenir les populations sous le joug des lois et des tribunaux à la solde des puissants.

La première arme des puissants est le chômage. Grâce à leur pouvoir financier et à son fort actionnariat dans les entreprises, la pression est mise sur la masse salariale devant constamment baisser faisant augmenter les dépenses budgétaires des états qui payent socialement pour contrôler les populations mécontentes en plus que chaque travailleur de moins est un contribuable en moins, ayant comme conséquence des déficit budgétaires systématiques laissant les pays s’endetter toujours d’avantage.

Selon mon copain, Carl Von Clausewitz (né à Burg en Prusse, théoricien militaire, né en 1780 et néanmoins dcd en 1831 ; nous correspondons toujours, non pas par Internet ni mobile, mais grâce à ses études encore d’actualité dans les écoles de guerre) par son ouvrage « De la guerre », car nous avons à faire face à une véritable guerre économique où il serait nécessaire d’une part de désarmer l’ennemi, de lui ôter ses moyens. Dans notre cas, il s’agirait des moyens de l’argent qui fait la force de la finance internationale. D’autre part, de ne pas aller au baroud en ordre dispersé, mais organisé et pensé, l’oignon faisant la force… heu… nan… l’Union faisant la force comme disent les Belges ! Ce qui ne m’a pas persuadé hier en allant déposer mon bulletin dans l’urne devant recevoir mon choix, choisi par mézigue tout seul comme un grand que je suis, donc sans influence quelconque, de l’avoir comme tout un chacun dans icelui ! (dans la liliacée, bien entendu pour les connaiseurs)

J’ai été stupéfié par le nombre de bulletins divers correspondants à des listes de candidats clamant presque tous la même chose : tous compétents, engagés, à leur juste place, à remettre l’Europe en route, investir en commun, lutter pour, lutter contre, changer le modèle économique, créer des emplois, des énergies renouvelables, encourager les initiatives, lutter contre le gaspillage, protéger notre santé, apurer l’air pur pollué, cultiver sur des sols fertiles, protéger une nature vivante, avoir des choix importants (ils ne disent pas lesquels, camarade), lutter pour l’intérêt « général » européen (ils ne disent pas lequel non plus), efficace politique agricole commune, protectrice, réaliste, sécurité, démocratisation des valeurs, virer les emmerdeurs, bloquer les frontières, (distribuer du papier à cul gratuit aux sorties du Métro, ne plus filer de contredanse à ceux qui suce leur index après s’être curé les trous de nez avec), etc.… vous avez eu dans vos boites à lettre les même prospectus que moi, pas la pêne d’en citer plus, à moins que vous ne saviez pas lire !

Au lendemain de cette élection « piège à bons  », j’ai fais exprès une fôte d’ortografe, si pour certains c’est un véritable tremblement de terre, faute de perspectives politiques proches, la réplique ne sera pas forcément pour demain, simple pet de vicaire ou prout de nonne… Le premier parti de France est celui des abstentionnistes, celui des exclus du système, celui de ceux qui n’attendent plus rien des gens de la politique qui en font leur métier de prise de pouvoir sans autre idéal !

Reconstruction, rassemblement, après une élection où tout le monde est parti au combat individuellement et en ordre dispersé avec la multiplication des petits partis, quand élection, après élection, plus personne ne veut de cette Europe ultra libérale. Ce qui ne veut pas dire que personne ne souhaiterait avoir une Europe unie et sociale où tout baignerait dans l’huile de coude, c’est à dire où tous ses états unis une fois pour toutes agiraient et travailleraient pour un ensemble commun, en harmonie et compréhension mutuelle pour le bien de tous. (je sais... Marc le Webmast va encore me seriner que je suis un utopiste... Ben... je m’en fout, na !)

Reste à savoir si les formations disparates aux intérêts divers et particuliers, ayant des représentants élus, étant donné leurs objectifs parfois contradictoires, vont pouvoir travailler ensemble, notamment au sein de groupes dont on peine à deviner les véritables contours. (on peut inverser le mot contour, c’est valable aussi dans le sens de l’écrit...)

Vous avé voté pour, vous avez voté contre, mais vous avé voté et vous avez peut-être voté comme un « bon »… tout comme moi, évidemment !

(j’ai encore fait une fôte exeprès)

Votre, Belzébuth