Salut les aminches. Coucou, c’est moi, Belzébuth.

J’passais par là pour vous dire un p’tit bonjour et pour vous dire qu’il arrive qu’un mateur (observateur indépendant de chez photomaton, paparazzi quoi) découvre quelque chose qui émeut la communauté, (oui m’sieur l’abbé) depuis une image ou autre chose, c’est un fait, actuellement jamais très rare. Mais en général, il s’agit seulement de satisfaire aveuglément une curiosité générale (ainsi que personnelle, car bien rémunérée) sans réelle plus value d’information, les choses les plus importantes passant en second degré, dans la poubelle, comme celles des pétitions expédiées dans les sous et préfectures. C’est pour cette raison que l’on soupçonne fortement à quoi ça sert ! Aveuglément parce que le quidam non averti n’a pas les moyens d’y reconnaître là, une interprétation objective (1). Malheureusement, par manque de formation et d’informations nécessaires. C’est malheureusement un fait quasi permanent qui peut toucher tout le monde, vous comme moi, mais en particulier celui des notoriétés, politiques ou autres, monde du spectacle, militaire ou sportif. Ceci dérange les uns et arrange les autres, de couper des ailes de mouche à caca en quatre. Mais avec, on y gagne des sous, il y a souvent des procès. On se fout à loilpé (à poil), y a photo, Gaston, file moi un godet, ça s’ra l’dernier et après on a mal au fion tellement on s’est fait daufer (nan, j’ose pas traduire tellement c’est vilain comme expression argotique).

Alors, faisons un peu d’analyse et de raison, l’exercice dont il est question ci-dessous relève pour moi du passe temps quasi inutile à la recherche de la réalité. Inutile, je le sais, mais comme mes interventions sont souvent telles qu’elles, pour vous asticoter un brin, et que chacun a le droit de se faire plaisir comme il l’entend, je pense qu’il n’y a pas de mal à cela, moins de mal que de payer ses impôts ! Comme ça dénote un peu des math’s, ça sera compliqué mais c’est écrit compliqué pour que vous compreniez mieux ! (Si vous n’y comprenez rien, faut aller prendre des cours aux Arts et Métiers cours du soir après le turbin (boulot), j’y ai bien été moi). Il n’y a donc pas de mal à cela, surtout cette année où les impôts ont diminués (c’est ce qu’on veut nous faire croire, mais on est des marles, faut pas nous la faire), tant que le questionnement ne devient pas obsessionnel au point de transformer les interprétations toutes personnelles en convictions affichées comme des vérités absolues (Ca change un peu plutôt que de dire des conneries). Pis faut bien rigoler quand on peut. Or, pour cela, foutre la zaouïa (ça, vous comprenez hein ? Car Marc il m’a dit de traduire) dans la cambuse, il faut commencer par douter de l’intégrité des autres et de ceux qui sont payés pour savoir, avec des amorces de rumeurs anticonspirrationnisteuses (j’ai essayé de faire le mot le plus long de la langue française. Je revendique le droit de l’inscrire au livre des records) qui ne font que brouiller les vraies pistes. Douter est utile, mais il faut commencer par sa propre remise en question.

Or donc, si on considère deux individus A et B (parfois plusieurs entre eux, mais là n’est plus le sujet, c’est une prise de panard en poules pro de match à XIII, un joueur remplaçant restant sur la touche en cas de défaillance d’un équipier) :

Soit A’ la partie de l’ensemble A, à qui A, a une relation R avec l’objet de B (vous commencez à deviner ce que je veux dire, nan ?). On peut dénombrer facilement les dimensions de A’ sur B et ses effets pour avoir une probabilité P(r) donnée qu’un élément petit ’a’ de A soit en relation avec un élément de petit ’b’ de B en se servant de la dimension de A’ comme variable à volume modulable (géométrie en espace, prendre des cours à la NASA ; ils ont eu ce problème également à la Maison dite Blanche).

Cette fonction stochastique (calcul de probabilités) et naturelle ayant sa réciproque, on peut aussi dénombrer petit ’r’ à partir de plusieurs A et B données précédentes.

Et, avec une population de 66 millions d’habitants, combien faut-il d’étapes pour qu’un individu X (comme Zézette, épouse X) puisse contacter (à 100%... heu… allez, ne mégottons pas… 99,08%... nous sommes soit disant des fortiches en la matière, non ?) un autre individu quelconque (disons un Président, heu... directeur général). Le calcul donne 4,8 c’est-à-dire que X 1 demande à X 2 qui demande… et ainsi de suite jusqu’à X 5 (5 étapes de « r ») qui a gagné au Loto. (à ce stade, si on ne trouve rien, on ira se réfugier dans un clandé, un claque quoi, si on sais pas amener les brèmes pour aller à la cave tâter la marchandise et la dégager des toiles d’araignées). Ce qui n’arrive jamais à ceux qui n’ont pas de la morale à en revendre et à qui le jeux de la brouette de Zanzibar coûte cher à se faire piquer (prendre), surtout légalement marida (marié, pacsé). Ils seront tétard (pris) avec la pogne (main) dans les renseignements extérieurs(à explorer certains endroits précis chez les autres et en profiter... enfin, imaginez quoi !), que ce soit fric placé, comptes illégaux, nanas à Mimile, c’est tout dit l’même. C’est des loufs (fous), sont pas de la haute et sont sans honneur.

Il faut donc en moyenne 5 relations pour qu’un individu normal fasse passer un message par le bouche à oreilles (et encore, chuis gentil car si j’emploie une autre expression, le gars Marc va me censurer…), c’est-à-dire sans Internet, naturellement, à n’importe quel autre individu ou individu(e) normal ou normale quand tous sont d’accord pour dire que de loin, l’individu, l’individue est giron ou gironde, à moins d’être jaloux !

Je dévie, c’est hors sujet et je reviens à ma démo :

Contrairement à ce que l’on pourrait intuiter (avoir de l’intuition), pour A’ et B très grands individus important par leur notoriété et situation, des chefs quoi, comme au burlingue où certains savent se chauffer auprès du Soleil, plus le nombre d’étapes tend à diminuer car ils ont non seulement la tchatche, le pouvoir nécessaire mais aussi le larfeuil (porte feuille) plein aux as (monnaie).

Alors, remplacez A par le nombre de protubérances et de crevasses que vous pouvez trouver sur un cliché de la face de la Lune ‘cachée’ (pas toujours mais ça tombe bien, hein ?) et B par le nombre de formes que chacun a en mémoire (consciente ou non) et R le nombre de façon d’éclairer chaque dénivelé ( pour ça, il y a des spécialistes) pour rendre visible les dénivelés (ce qui donne A’) et vous pourrez évaluer raisonnablement le nombre d’étrangetés ‘inexplicables’ relevables par l’observateur preneur de photo.

Je n’ai pas fait le calcul (subjectif au moins pour B) mais je parie que le résultat est au moins en dizaines avec un P(x) au-delà de 90% (+/- 2 écarts types).

Donc… mollo sur les interprétations d’images fixes, d’autant plus qu’avec un logiciel type Adobe, on peut faire n’importe quoi en modifiant une photo vraie pour en faire une fausse vraie. J’ai un copain qui s’en est fait une de photo et qui a trop exagéré sa... euh... son... heu... j’vous l’dis pas ! J’ose pas mais le jour où il est passé au conseil de révision, la toubib adjudante chef, car y a des Amazones main’nant dans l’Armée, s’est foutu d’lui. La preuve, il y a des faits avérés qui pourtant dérangent. Encore faut-il en être informé, ce qui découle d’une remarque, la remarque notée (1) au dessus ci-dessus).

Savez vous que des détecteurs sismographiques laissés par ‘hasard’ sur des surfaces lunaires ont montré, lors de l’écrasement d’une petite météorite l’année dernière, que la Lune résonne… autrement que les électeurs, mais elle résonne comme une sphère métallique creuse, creux comme certains cerveaux qui se gourrent (trompent) de bulletin. C’est vide comme les cadavres de boutanches (bouteilles, on peut dire aussi ’betteraves’) le soir du Beaujolais nouveau. Là où se pose notre problème à résoudre, on n’y entend que des airs de flambeurs professionnels de la tchatche, entichés d’airs de Java valse avec leur gironde pour maquiller les brèmes… Pendant ce temps là, cause toujours, mon frère, car pour la plupart des péquins comme vous z’é moi, il n’y a rien à voir, n’y a entendre, car le sujet est d’ordre personnel ! (et ta sœur, elle bat l’beure…)

Au fait, vous avez l’bonjour, pas d’Alfred, mais d’ma sœur, Lucie Faire.

Amitiés de votre Belzébuth