A voir les images de Gisèle Pélicot arrivant telle une rock star au tribunal d’Avignon, entre deux haies de groupies trépignantes, souriante, serrant des mains, mitraillée par une cohorte de photographes, je me suis demandé à quoi tout cela rimait. Et je me suis mis à douter, ce qui n’est pas bon signe.