De la décence, instrumentalisation, charognards, laissez la famille faire son deuil, ce n’est pas le moment de polémiquer… Ben voyons ! C’est qu’ils sont tellement nombreux à être responsables – et coupables, oui, coupables - de la mort atroce de cette petite fille qu’ils préfèrent qu’on passe très vite à un autre sujet. Me too, par exemple, un blanc hétéro qui aurait fait une proposition indécente il y a 20 ans à une actrice en mal de publicité ?
Les premiers responsables de la mort de Lola, qui, je l’espère, devraient mal dormir pendant un certain temps, et de tant d’autres victimes de « faits divers » impliquant des OQTF, MNA et autres invités peu désirables, ce sont, par ordre de préséance, les chefs d’État (et leurs gouvernements) qui se sont succédé depuis la guerre d’Algérie, en commençant par de Gaulle et ses si mal nommés « Accords d’Evian », respectés seulement par la France, qui nous faisaient perdre toute considération en Afrique et créaient les conditions d’un déferlement d’Algériens, suivis par tout le Maghreb et le reste de l’Afrique en France. Des présidents qui par idéologie, ou veulerie, ou aveuglement, après moi le déluge, ou sous-estimation des conséquences d’une immigration hors de contrôle de populations incompatibles avec nos mœurs, nos croyances, nos idéaux, ont laissé la situation dégénérer vers un point de non-retour.
Et dans cette succession d’irresponsabilités, le pompon, sans l’ombre d’une discussion, a été décroché par notre président actuel, qui, après le regrettable François Hollande, brillant second, a accumulé contritions, aplatissement et négation de l’identité française, donnant à nos « hôtes » toutes les raisons de se sentir chez nous comme chez eux, et, surtout, de nous mépriser au point de nous confondre parfois avec des cafards dont on se débarrasse d’un coup de talon – ce qui à mon avis explique plus que toute autre cause la sauvagerie ambiante.
Certes, dans la 5ème République, le président ne peut pas tout faire, mais à contrario rien ne peut se faire ou se défaire sans lui, et c’est pourquoi les responsabilités que je vais maintenant égrener, et derrière lesquelles Macron et ses séides n’hésitent pas à s’abriter, sont secondaires par rapport à celles du Président.
Il y a la Cour Européenne des Droits de l’Homme. Comme je l’ai écrit dans ma tribune de la semaine dernière, elle a peu à peu créé un Droit qui n’a plus rien à voir avec les traités qui l’ont constituée. En particulier, elle a remplacé un Droit qui concernait les citoyens européens par un Droit des « personnes », ce qui n’est pas du tout la même chose, puisque cette orientation conduit à accorder les mêmes droits aux étrangers et aux natifs. Quant aux droits de l’homme stricto sensu, ils ont aussi été transformés de droit « à » la « Défense » à un droit « de » la Défense, c’est-à-dire un droit qui protège de plus en plus les auteurs de crimes et délits, en oubliant les victimes. Cette Cour est notoirement manipulée, enquête de la CEJL (European Center for Law and Justice) et de l’avocat Gregor Puppinck à l’appui, par l’Open Society de George Soros, lequel n’a qu’un objectif (en dehors de faire toujours plus d’argent), détruire la civilisation occidentale, pour des raisons qu’un psychiatre vous expliquerait mieux que moi. C’est donc cette cour indigne qui a intimé aux États membres du Conseil de l’Europe de dépénaliser la présence irrégulière dans un pays de l’Union. Un clandestin qui n’a pas commis d’autre infraction que sa présence illégale ne peut pas être expulsé. Ne peuvent pas être expulsés non plus les mineurs, les chargés de famille, les délinquants qui sont recherchés dans leur propre pays et qui risqueraient d’être plus sévèrement punis chez eux que chez nous, les apatrides (ou ceux qui ont détruit leurs papiers) ! En s’appuyant sur la CEDH et le préambule de la Constitution, le Conseil Constitutionnel Français est même allé jusqu’à dépénaliser le « délit de solidarité » à l’occasion du procès de Cédric Herrou, le passeur de migrants, dont il a confirmé la relaxe, quand il ne sourcille pas lorsque les Identitaires sont condamnés pour avoir dénoncé la perméabilité de nos frontières.
Qu’est-ce qui empêcherait notre Jupiter de dénoncer les dérives de la CEDH et de la quitter si on n’est pas contents (d’autant plus qu’on la finance) ? Des c…lles. Ou peut-être qu’un bouc émissaire arrange les affaires de notre « en même temps » ?
N’oublions pas les parlementaires, à qui on n’a pas mis le pistolet sur la tempe pour qu’ils votent, sou la houlette de la CEDH ou d’initiatives locales – en France, on se targue de faire toujours mieux que les autres -, des lois de plus en plus protectrices des malfaisants, au nom d’une réinsertion considérée comme œuvre christique, en se souciant comme d’une guigne des victimes passées, présentes et futures (des faits divers malheureux mais accessoires). Précisons que si la plupart des lois sont des « projets » validés en conseil des Ministres, sous la présidence du Président de la République, les parlementaires sont faits pour proposer des amendements, et pour refuser de voter les lois qu’ils considèreraient comme mauvaises pour les Français.
Et il y a les lobbies pro-migration, la LDH, Droit au Logement, No Border, France Terre d’Asile, SOS racisme et tant d’autres, qui, avec des avocats payés par nos impôts, utilisent toutes les ficelles du Droit, et elles sont pléthoriques, pour empêcher l’exécution des OQTF – encore une fois, la difficulté d’obtenir l’accord du pays d’origine est une vaste blague- , les expulsions de squatteurs ou de locataires racisés indélicats ( quand ils finissent par être expulsés, la loi exige qu’on les reloge)… On ne les a pas beaucoup entendus, pour déplorer l’assassinat de Lola, mais ils commencent à se réveiller pour dénoncer une nouvelle manipulation de l’extrême droite. A quand l’inévitable manif ?
Mais il faut le dire, ne nous en déplaise : Lola ne serait pas morte si nous, Français, n’avions pas laissé s’installer dans le fromage de la République tous ces rats qui nous dévoreront jusqu’à l’os, si nous continuons à ne pas avoir la « haine ».