Ma parole, ils sont devenus fous ! Du mariage pour tous, de Cahuzac, du patrimoine des ministres, des allocations familiales, de l’Europe, de la politique judiciaire, de la sécurité, des prélèvements fiscaux, que des fiascos, que des boules puantes, que des décisions dont on se demande si ceux qui les ont prises ne se sont pas échappés d’un asile, tant tout ce fatras de mesurettes débiles, c’est de la poudre de perlinpinpin pour soigner un cancer généralisé !

Le résultat, c’est qu’en moins d’un an, Président Normal, par ses décisions dogmatiques et imbéciles, ses petites combines, et son absence manifeste d’envergure, a conduit la France à un état carrément insurrectionnel ! Jamais, aussi loin que l’on remonte dans l’histoire de notre pays, nous n’avons connu une telle « chienlit », et surtout, surtout, jamais les Français n’ont eu à ce point le sentiment que le capitaine, avec tout son équipage, avait abandonné le navire, et qu’il ne restait plus, à bord du bateau France, que les passagers en perdition.

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Et quand je parle d’équipage, ne croyez pas que j’oublie l’opposition. Qu’elle soit « de gouvernement », et occupe ses loisirs à pronostiquer qui de Fillon, Coppé ou Borloo, sera le plus médiocre, pour choisir le moment venu le bon cheval, ou qu’elle se situe à la « droite de la droite » (pour imiter la nouvelle « gauche de la gauche » - voir ma tribune précédente, il n’y a plus d’extrême gauche), avec une Marine Le Pen dont les thèses, en dehors de la question sécuritaire, ressemblent comme deux gouttes d’eau à celles de Mélenchon, c’est le sauve qui peut général, Droite et Gauche confraternellement sains et saufs dans les mêmes canots de sauvetage.

Et tout ce joli monde nous laisse un gouffre financier de plusieurs milliers de milliards d’euros (la dette réelle de la France est bien supérieure, si on additionne tous ses engagements, aux 2000 milliards officiels), une économie étranglée qui ne survit que grâce au pouvoir d’achat de nos fonctionnaires, qu’ils en soient remerciés, et aucun espoir de reprise tant que les pays avec lesquels nous commerçons n’auront pas pris chez eux les mesures d’assainissement que nous refusons de réaliser chez nous, et qui leur permettront de racheter en solde les derniers bijoux de famille qui nous restent... Et après moi le déluge !

Mais ça ne s’arrête pas là ! Non contents d’avoir ruiné le pays, après tout plaie d’argent n’est pas mortelle, ils nous ont subrepticement réduits, qu’ils soient de Gauche ou de Droite, à une faillite morale et spirituelle, en détruisant systématiquement, au nom d’une laïcité que personne ne comprend et d’un « modèle social » dont aucun autre pays n’a voulu, les valeurs de morale et de Nation qui ont construit l’identité de la France et des Français depuis près de 2000 ans. Le dernier coup porté, avant le coup fatal de la GPA pour tous et l’interdiction, au nom de l’égalité entre les « genres », de la procréation naturelle, étant cette absurde loi Taubira qui fera qu’on pourra marier une vessie et une lanterne, et tant pis si on se brûle les doigts.

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Alors, c’est foutu, me direz-vous ? On va couler, c’en est fini de la France ? Hé bien non, mes amis, mes frères, que vous soyez Français de souche ou Français d’adoption, pourvu que vous soyez Français de cœur. Parce que la France, et tous ses saboteurs commencent à s’en apercevoir à leurs dépens, est un peu plus coriace qu’ils ne l’avaient imaginé ! Et puis, Dieu bénisse Frigide Barjot et les Socialistes, grâce à leur mariage pour tous et leur obstination aveugle, ils ont fait se lever ceux que l’on croyait définitivement zombifiés par cinquante ans de lavage de cerveau gauchiste, multi-culturaliste, repantiste et défaitiste. La France profonde s’est réveillée de son long sommeil. Les dangereux fachos terroristes qui ont pris sur leurs dimanches ou leurs soirées pour dire non à cette destruction méthodique de leur patrie sont les Français qui se lèvent le matin pour aller travailler, qui paient des impôts pour que les routes soient ouvertes (et les contraventions qui vont avec), pour que les hôpitaux soignent aussi bien les pauvres que les riches, pour que l’Ecole donne le maximum de chances à tous les enfants de France, et qui, s’il le faut, sont prêts à donner leur sang pour leur pays. Tous ces Français, méprisés par la bienpensance de toutes les veuleries et de toutes les abdications, ont enfin décidé que trop, c’était trop, et que dorénavant, plus rien ne se ferait sans qu’ils soient d’accord.

Et je vous le dis, aucun pouvoir, quel qu’il soit, ne pourra « faire barrage » à ce raz de marée qui se lève !

n.b. Si aucun leader charismatique ne se révèle, je veux bien chausser les crampons et faire le job. Je vous rassure, j’ai toutes les compétences pour. Que les élus qui lisent Notre Journal me donnent leur signature, et je me présente aux prochaines élections présidentielles. Et je vous le dis, la France, avec toutes vos bonnes volontés, je sais quoi faire pour la remonter !