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Jusqu’où ?

, par  NEMO , popularité : 4%
NJ-Ile de France

Ils cassent, ils frappent, ils insultent, ils intimident, censurent, multiplient les procès, traitent ceux qui leur résistent de fascistes, de nazis, de pétainistes, d’islamophobes, d’homophobes et que sais-je… Une chose est sûre : il ne faut pas compter sur L’État complice pour les arrêter. C’est à nous de leur faire rendre gorge en rendant coup pour coup, et avec intérêts, pas en leur tendant l’autre joue.

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Ils sont, en France, comme des poissons dans l’eau. Gauchistes, islamistes, antifas, féministes déconstructrices, écolos des villes, black blocs bourges, universitaires « engagés », serviteurs d’eux-mêmes, corrompus et corrupteurs, « anywhere », associations qui vivent de nos impôts, idiots utiles de la destruction de l’idée même de la France, et, par un cataclysme systémique qui ne saurait manquer d’arriver, de l’Occident tout entier. Mais ils s’en foutent, puisqu’ils sont le « bien ». Ils peuvent tout se permettre, sans risque, avec la bénédiction de leurs clones, puisqu’ils ont, pour exaucer leurs caprices, le pouvoir législatif, le pouvoir exécutif, la police « républicaine » que pourtant ils détestent, la justice, la Finance, les médias, les universités, les artistes subventionnés, les institutions internationales « ouvertes », et jusqu’au Pape qui les bénit. Ils ont tout, ils tiennent tout, et pourtant, pour eux, ce n’est pas assez. Ils veulent que les « autres », ceux qui ne sont pas comme eux, qui ne pensent pas comme eux, qui ne leur mangent pas dans la main, les « somewhere » pour tout dire, se dissolvent corps et bien.

Pour « néantiser » le populo qui pense mal, ils usent et abusent d’un scénario usé jusqu’à la corde, mais qui, allez comprendre la mentalité des masses qui les portent au pouvoir, fonctionne encore et toujours : le danger d’extrême-droite. Des attaques par des couteaux qui n’ont pas pris leurs médicaments ? Des chutes de vitrines mal scellées sur des badauds innocents (sans doute cagoulés, mais pour se protéger du Covid, et munis de boules de pétanque, mais pour faire une partie) ? Des démocrates aux narines sensibles qui protestent « pacifiquement » à coups de barres de fer contre les séances de dédicace d’un auteur politique sulfureux (sulfureux = odeur de soufre = manifestation olfactive de la présence du Diable) ? La « prétendue agression » d’une grand-mère et de sa petite fille par un déséquilibré – à ce propos que faisaient, à se pavaner visage découvert et jambes nues devant leur porte, ces deux tentatrices impudiques de 73 et 8 ans ?... Des amalgames indignes et des instrumentalisations racistes par l’extrême-droite de faits divers banaux, tels qu’il s’en produit tous les jours, comme le souligne à juste titre Libération. Non, encore une fois pour ceux qui n’auraient pas encore compris, le vrai danger pour la France, c’est l’extrêêêême-drouaaaate !

L’extrême-droite, qui hait, nous assure-t-on, la République et ses « valeurs », qui, contre la volonté des familles, ne respecte pas le temps du recueillement et du deuil, qui refuse d’accepter cette France plurielle et généreuse qui fait l’admiration du Monde. Honte à l’extrême-droite, dissolvons l’extrême-droite, au Goulag l’extrême-droite. A vomir, l’extrême-droite, parce qu’au fond, c’est elle, par ses provocations, par ses complots, qui est la cause de tout le mal. S’il n’y avait pas l’extrême-droite, la France serait un pays merveilleux, paisible, accueillant, où tout le monde se tiendrait par la main, où il n’y aurait plus de pauvres, plus de malades, plus d’analphabètes, ou il n’y aurait plus besoin de prisons, de police, d’armée, de tribunaux.

Le pire, pour notre pauvre pays, c’est qu’à part quelques-uns, hélas peu ou pas représentés, Reconquête, les Patriotes, tous les partis politiques de droite ayant pignon sur rue, RN compris, se couchent devant les anathèmes du camp du bien et passent leur temps à justifier qu’ils ne sont pas ce que l’on dit d’eux, sans vouloir admettre que quoi qu’ils fassent pour complaire à leurs accusateurs, c’est peine perdue.
Hé bien je vous le dis : si on veut que la France redevienne la Nation qu’elle n’est plus et qu’elle a été pendant mille ans, il est manifeste que nous ne pouvons plus compter sur l’État. L’État ne veut plus nous défendre ? Nous n’aurons plus d’autre choix que de nous défendre nous-mêmes. l’État ne veut plus nous rendre justice ? Nous n’aurons plus d’autre choix que de nous faire justice nous-mêmes. l’État n’est plus, Nous n’aurons plus d’autre choix que de le remplacer. Et, comme le disait Pasqua, nous n’aurons plus d’autre choix que de terroriser à notre tour les terroristes…