S’il s’agissait d’un couple « normal », la question ne se poserait pas, et, en tout cas, je m’en contreficherais. Mais il s’agit du président de la République et de son conjoint, et là, cela concerne tous les Français. Ne serait-ce que parce que le chef de l’État que les Français se sont, hélas, donné, manifeste un comportement de plus en plus erratique, va-t-en-guerre, qui pourrait s’expliquer par une adolescence sérieusement perturbée… Problème, ses amours, résultat, nos emmerdes.
Quand j’ai commencé à en entendre parler, je me suis dit qu’il y en avait qui ne savaient plus quoi inventer, qu’il y avait suffisamment de griefs à formuler contre le couple des Thénardier de l’Élysée pour ne pas en rajouter. Et puis, vous l’avez constaté comme moi, la rumeur ne s’éteint pas, elle enflerait plutôt, ce qui n’est pas bon signe. Alors j’ai voulu regarder tout cela d’un peu plus près. Je vous livre brut de fonderie les réflexions et questions que cette histoire de corne-cul m’a inspirées.
Brigitte, d’abord, est incontestablement une énigme. Elle, dont les photos avec son époux actuel ont fait des centaines de Unes dans les revues people, n’a jamais confié à ces journaux son adorable binette de bébé, de petite fille, d’adolescente ou de jeune fille, contrairement à ce qui se fait dans ce genre de publi-reportages. De son mariage avec son premier mari André-Louis Auzière, il n’y aurait, d’après Causeur, qu’une seule et vague photo en noir et blanc. Pas plus non plus de photo de la jeune accouchée câlinant l’un de ses bébés, du moins je n’en ai pas trouvé. Le mari, Auzière lui-même, n’a jamais fait l’objet de la curiosité des médias, à sa demande, paraît-il, parce qu’il voulait rester dans l’anonymat. Et surtout, il aurait quitté ce triste monde fort opportunément et dans la plus grande discrétion le 24 décembre 2019, et aurait été incinéré, ni vu ni connu. La liaison de Brigitte, 40 ans (au moins) à l’époque, avec le jeune Emmanuel, 14 ans (et non pas 15, si l’on s’en réfère aux plus récentes estimations), n’a pas eu de conséquence, ni pénale, alors qu’il s’agissait d’un détournement de mineur, et, circonstance aggravante, par une personne ayant autorité sur lui, ni professionnelle, puisqu’elle n’a pas empêché le professeur de Français Brigitte Macron d’être recrutée par le prestigieux établissement jésuite Saint-Louis de Gonzague, plus connu sous le nom de Franklin – un sacré paradoxe. Après, sur les spéculations concernant un Jean-Michel qui aurait changé d’identité sexuelle pour se transformer en Brigitte, honnêtement, je ne me sens pas en mesure de m’aventurer dans ce domaine… Sinon que, comme le souligne la journaliste américaine Candace Owen, il était très facile à Brigitte de mettre fin à la rumeur en se montrant avec son frère Jean-Michel… Sinon qu’au-delà des appréciations plus ou moins sujettes à caution sur son physique qui serait plus masculin que féminin, sur sa perruque qui cache une partie de son visage, j’avoue que j’ai été troublé par une remarque trouvée dans une petite vidéo dont je vous joins l’adresse : ( https://www.youtube.com/watch?v=D4R6OtUsQiM). Le blogueur a remarqué que madame Macron s’asseyait comme un homme, jambes écartées. Depuis, j’observe les femmes autour de moi, pour vérifier, au risque qu’elles me dénoncent pour voyeurisme.
Quant à Emmanuel Macron, ne nous cachons pas derrière notre petit doigt. Son excitation visible lorsqu’il se trouve en compagnie de beaux noirs, bien musclés -les deux racailles de Saint-Martin ou les danseurs LGBT de la fête de la musique-, son goût pour la provocation, « qu’ils viennent me chercher », pour le déguisement -en tenue d’aviateur, grotesque-, pour l’exhibition – dernières en date, ses photos en boxeur aux biceps d’haltérophile -, si ce n’est que le bras qui frappe le sac n’a manifestement pas le même volume, ni les mêmes veines saillantes, dans les deux clichés soumis à notre admiration… photos à rapprocher du reportage de Paris Match en 2016 où on le voit en maillot de bain - plutôt freluquet, le président boxeur ! Et puis, si on lui attribue sans trop insister des aventures avec des hommes, jamais la moindre rumeur sur une relation torride avec une femme… Pour un aussi beau mâle, lorsque l’on sait à quel point la libido de nos grands hommes est exacerbée, que l’âge commence à peser sérieusement sur son épouse chérie, il y a comme un défaut.
Bref, quoi qu’il en soit réellement, par les temps qui courent et les choses étant ce qu’elles sont, se dire que nous avons à la tête de notre pauvre pays ce couple « limite » dont le « mâle » (?), qui dispose des codes nucléaires, veut obstinément nous entraîner dans une guerre avec la Russie, ça fait frémir.
Notes :
encore un phénomène troublant : Brigitte Macron avait été recrutée par les Jésuites de Franklin… après avoir été exfiltrée discrètement du lycée Jésuite de la Providence à Amiens, dont Emmanuel était l’élève. Macron, vous l’avez peut-être vu taper dans le dos du pape et le tutoyer, semble comme cul et chemise avec le Saint Père… un jésuite ! Complotisme, quand tu nous tiens !
Pourquoi a-ton essayé de nous faire croire que Macron avait 15 ans, et pas 14, quand il a « connu » Brigitte ? Parce que l’âge légal du « consentement » par un mineur à une relation sexuelle avec un majeur est de 15 ans. En dessous, c’est un crime pédophile.