Georges Fenech présentant son dernier bouquin sur les errements de la justice et des politiques expliquait que la France subissait une violence importée de l’autre rive… Erreur, mon capitaine. La violence de nos « chers hôtes » (chers au sens que ça nous coûte un bras) n’est pas un produit d’importation. C’est nous qui l’avons plantée et fait pousser. Et maintenant, nous la récoltons. Bien fait pour nous !