Des centaines de morts en Europe, tous assassinés sur ordre de l’État Islamique.

Eux, ils peuvent tuer en toute impunité.

Eux, n’ont pas peur ni de tuer ni de mourir alors que nous avons peur et de mourir et de tuer.

Il est question d’une « guerre » mais il ne s’agit nullement d’une guerre. Une guerre c’est quand deux blocs s’affrontent dans le but de s’éliminer afin de remporter la victoire en tuant le plus d’ennemis possible.

Les attentats qui nous frappent sont uniquement du terrorisme et tous les plans d’urgence ou Vigipirate seront inefficaces pour y mettre un terme.

Personne ne pourra prévoir n’y empêcher un véhicule de faucher des dizaines de passants, ni un terroriste d’assassiner d’un coup de couteau un prêtre ou un innocent.

Dans de telles situations soit le terroriste est abattu sur place et on n’en parle plus, soit il est appréhendé, arrête, jugé et condamné.

Dès lors la vie est belle pour lui : logé, nourri, entretenu, aux frais de la société, porté aux nues, considéré comme un « héros », par le clan islamiste qui le prendra sous sa protection.

Dès lors il sera « intouchable »

Car les islamistes font la loi dans les prisons, ils imposent de force leurs conditions, leurs règles de vie, leur religion.

Les « matons » sont impuissants devant leurs menaces physiques et morales : menaces internes mais également menaces externes, contre leurs familles, leurs femmes, leurs enfants.

Ils ne peuvent que laisser faire et fermer les yeux.

La logique voudrait qu’un terroriste non abattu sur place soit immédiatement passé par les armes, fusillé puisqu’il s’agit d’un « combattant » de l’Islam.

Mais dans des pays civilisés comme les nôtres il n’est même pas imaginable d’envisager une telle solution radicale. La morale l’interdit et les droits de l’homme également, n’est-ce pas ?

Mais qui se souciait de la morale et des droits de l’homme à l’époque de la « guerre d’Algérie » ?

Le gouvernement de De Gaulle a-t-il hésité une seule seconde pour fusiller Jean Bastien-Thiry, qui n’avait pas de sang sur les mains ?

Ce même gouvernement a-t-il hésité à fusiller, et dans quelles cruelles et révoltantes conditions, le lieutenant Roger Degueldre ?

Et à exécuter Claude Piegts et Albert Dovecar.

Eux étaient pourtant des français qui se battaient pour conserver une province, trois départements, dans une république française « Une et indivisible » !

Ils n’étaient pas les ennemis de la France mais d’un gouvernement français d’abandon.

Méritaient-ils ce sort que l’on se refuse d’ordonner pour ces terroristes ennemis de la France ?

Ces terroristes doivent-ils continuer à vivre après leurs crimes ?

François Mitterrand, ministre de l’Intérieur, a-t-il hésité à faire exécuter des dizaines de terroristes islamistes, nos ennemis alors ?

Ne le sont-ils plus aujourd’hui ?

Ce n’est pas en remplissant nos prisons de terroristes islamistes condamnés, des « héros » pour les radicaliser qui y pullulent et seront libérés un jour où l’autre, libre de se battre pour Daesh et faire le plus de victimes possibles pour la plus grande gloire d’Allah !

Pas de pitié pour eux.

Ils espéraient rejoindre le Paradis qu’on leur promet en mourant pour Daesh, alors aidons-les !