LA JUSTICE EN FRANCE

Le garde des sceaux, Dupont Moretti, semble ignorer que la justice pour tout le monde est représentée par une balance en équilibre.

Or une des premières déclarations du garde des sceaux est pour condamner à mort un parti politique français, le rassemblement national. Est-ce-à-dire que tous les français, et ils sont des millions, qui ont voté pour ce parti doivent être mis à mort ? Un peu de jugeote monsieur le garde des sceaux.

Le garde des sceaux ressemble à son président, pas comme lui sur la première photo du président avec deux jeunes noirs, mais comme sa conception de la réalité. Il croit que la réalité c’est ce qu’il pense et qui n’a rien à voir avec ce que voient les français en général quand ils ne sont pas aveuglés par une idéologie.

La grande concertation sur la justice a eu lieu. Mais personne n’a fait allusion au « MUR DES CONS ». La responsable de cet affichage publié sur les télés officielles a été blanchie par la justice mais peut-être pas dans l’esprit des français…

Le pire, personne n’a fait allusion à l’affaire Traoré. Un homme, multirécidiviste, connu par la police pour de nombreux délits, musulman, a balancé par la fenêtre une vieille femme, sa voisine, une juive.

. Mais la justice ne l’a pas déclaré coupable, et même n’a pas accepté de le juger parce qu’un psychiatre a déclaré que cet homme avait été submergé par une bouffée délirante…. Tous les français pensent qu’il s’agit d’un meurtre antisémite prémédité, y-a-t-il pire ?

A quelques temps de là, il y a eu l’affaire du cannibale. Un homme a tué un autre homme et a dévoré le foie de ce mort. Ce cannibale est passé en justice et bien sur, a été relégué chez les fous dangereux par un tribunal alors que Traoré n’est pas comparu devant un tribunal. Peut-être parce que Traoré est noir alors que le cannibale est blanc. Il semble qu’en France il peut y avoir dans certains tribunaux une justice pour les noirs et une autre justice pour les blancs.

La formation des juges devrait être rendue aux universités. Comme autrefois quand les meilleurs élèves en droit, dans toutes les universités françaises concourraient pour devenir juges après un concours organisé par le ministère de la justice. Cette diversité de formation garantissait une certaine neutralité. Mais le gouvernement socialiste a créé l’école de la magistrature où les juges sont formés dans l’idéologie socialiste pour ne pas dire communiste.

Ce n’est pas pour revenir en arrière, mais pour appliquer un principe de la démocratie, la diversité des opinions.

La justice en France a très mauvaise presse, surtout pour la qualité de ses jugements et non pas pour des tas d’autres questions.

La justice est excessivement lente, elle manque de personnels, mais surtout les différents gouvernements depuis des lustres ont, tous, légalement, voté au parlement français, une extrême complication de la procédure. Pour arriver à une mise en jugement il faut passer le labyrinthe de la procédure qui dure des mois et parfois des années.

C’est arrivé à un tel point d’aberration que les français ordinaires pensent qu’en France il n’y a pas de justice parce qu’elle est actée si loin des faits jugés que cela ne veut plus rien dire.

C’est le résultat d’une conception idéologique de la justice enseignée à l’école de la magistrature.

Les universités en France sont complètement soumises à cette idéologie mais en introduisant un esprit d’émulation par la diversité de ces universités on devrait redonner aux juges la capacité de considérer la réalité des faits en dehors de toute idéologie.

Toutes les considérations sur le manque réel de personnel servent à masquer la gangrène de la justice, son idéologie de GAUCHE évidemment.