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Christiane Taubira élue femme de l’année – en pleine révolution de la théorie du genre, ça fait mauvais genre.
L’artisan de la destruction de la famille, de la destruction de la sexuation, de la destruction de la vérité historique sur l’esclavage des noirs par les musulmans, qui va remettre les délinquants en liberté, elle femme de l’année, on est plongé en plein nihilisme bobo. Taubira n’a plus de femme qu’un prénom, elle est devenue une arme de destruction idéologique massive.
Et comme le ministre a décidé d’afficher de plus en plus ce tout qu’elle est « vis à vis de ces esprits mesquins, obscurantistes », ne soyons pas mesquin, et aidons là.
Voici tiré de Charte pour un souffle nouveau, son petit livre qui tient aussi de charte à son parti guyanais, Walwari.
Voici ce qu’on lit, à partir de la page 20, sur l’immigration :
L’immigration, dans ses débordements actuels, risque de battre en brèche les efforts collectifs pour la convivialité.
L’immigration, ce n’est pas un slogan.
C’est une menace réelle ou vécue sur la conscience de l’identité collective.
C’est une source de panique pour le repli sur soi.
C’est une source de profits.
C’est une arme de chantage.
C’est un bouc émissaire.
C’est un spectre qui empêche les agriculteurs isolés de rejoindre leur abattis (NDLR : en Guyane, désigne l’exploitation agricole itinérante)
C’est le prétexte à tous les rejets.
Mais c’est aussi, et on l’oublie trop souvent, le drame vécu de milliers d’individus (NDLR : les Guyanais).
Voilà qui est Christiane Taubira : elle travaille à saper l’identité des Français de métropole, et préserver celle des Guyanais.
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