La vidéo diffusée le 6 octobre par Rachid Nekkaz a été visionnée plus de 5 millions de fois. Vous savez cette vidéo où il présente son visage ensanglanté et son nez fracturé.

Rachid Nekkaz a été violemment pris à partie par R.B., neveu et beau-fils d’Amar Saâdani, ex-secrétaire général du FLN, le parti au pouvoir en Algérie depuis plus d’un demi-siècle. Il fouillait, paraît-il, les boîtes à lettres de la résidence acquise à Neuilly-sur-Seine par celui qui fut également ex-président de l’Assemblée.

Rachid Nekkaz est un homme à double face et, mais je vais certainement choquer plusieurs lecteurs, cette face de Nekkaz m’est assez sympathique (je ne parle pas uniquement de la face de Nekkaz ensanglantée, bien évidemment).

En effet Rachid Nekkaz fait campagne depuis des plusieurs années contre les responsables et hauts fonctionnaires algériens qui possèdent des biens immobiliers non-déclarés en France et hors de France et qui détournent ainsi l’argent public du peuple algérien.

Il est vrai que les autorités françaises concernées détournent pudiquement les yeux de tous ces milliards qui nous reviennent d’Afrique, et notamment d’Algérie.

Mais Rachid Nekkaz a une autre face qui est totalement odieuse.

Fondateur du MPC (Mouvement pour la jeunesse et le changement), il milite ouvertement pour le port du voile intégral, interdit par la loi, et cela en toute impunité se gaussant totalement des autorités françaises alors que, rappelons-le, il a renoncé à la nationalité française depuis 2012.

Il s’est fait photographié devant le « Trésor Public » alors qu’il venait régler quelques amendes qui frappaient des musulmanes verbalisées car portant le voile car il s’est engagé ouvertement à payer toutes les amendes défiant ainsi la justice française, sans aucune réaction de celle-ci, bien entendu !

Rachid Nekkaz affirme avoir déjà déboursé plus de 300.000 euros (Nous en doutons un peu).

Au mois de mai 2017 il avait organisé une baignade en « burquini » pendant le festival du film, toujours sans aucune réaction ni sanction des autorités françaises.

Pas trop traumatisé par sa récente déconvenue, Rachid Nekkaz manifestait le 9 octobre à Vienne (Autriche) contre l’interdiction du niqab, s’opposant ainsi à la loi votée le 1er octobre, qui interdit de se masquer le visage dans l’espace public.

Le visage recouvert de plusieurs billets de 100 euros et d’un portrait du ministre des Affaires Étrangères autrichien, Sébastian Kurz, qui venait de demander des sanctions contre lui, coupable « d’incitation à commettre un délit », s’il se manifestait.

Rachid Nekkaz a affirmé son soutien aux musulmanes et européennes converties qui continuent, malgré la loi, à porter le voile intégral et seront sanctionnées par la police autrichienne, comme il le fait impunément en France.

Hélas ! En Autriche personne ne lui a explosé le nez !

Verbaliser sur place par la police autrichienne il a dû payer immédiatement une amende de 50 euros.

Ce n’est pas cher payé pour la publicité qui lui a été faite une nouvelle fois !

Le feuilleton Rachid Nekkaz se poursuit, attendons le prochain épisode !

Mais qu’il se méfie, il ne connaît probablement pas la récitation française « Tant va la cruche à l’eau, etc. », il est des provocations qui, tôt ou tard, appellent des réactions. Il vient d’en subir une et, à notre avis, il s’en est bien tiré !