« Pan pan l’arbi les chacals sont par ici… »
Ils étaient là, les 200 chacals, réfugiés derrière une barrière policière brandissant des drapeaux dont ils ne connaissent que leur histoire.
Nous entendions les aboiements contre les « Pieds-Noirs nostalgiques de l’Algérie française », leurs vociférations « (...)