« Pan pan l’arbi les chacals sont par ici… »
Ils étaient là, les 200 chacals, réfugiés derrière une barrière policière brandissant des drapeaux dont ils ne connaissent que leur histoire.
Nous entendions les aboiements contre les « Pieds-Noirs nostalgiques de l’Algérie française », leurs vociférations « Ménard on aura ta peau », leurs cris de haine contre un officier de l’armée française « Saint-Marc assassin ».
Ils étaient là ces 200 chacals, dressant un drapeau algérien du FLN, deux drapeaux rouges du Parti Communiste et trois drapeaux français souillé par leurs mains trempées dans du sang français, du sang versés par nos enfants, vos enfants, tous ces civils, ces innocents et ces jeunes soldats du contingent frappés par les armes offertes à l’ennemi FLN par l’aspirant communiste Maillot, déchiquetés par les bombes fabriquées par le comptable communiste Timsit et tués par les balles payées par les porteurs de valises gauchistes du réseau Jeanson.
Ils étaient là ces 200 chacals soutenus par la FNACA, le Parti Communiste et ces associations anti-France subventionnées par l’Etat.
**Saint-Marc assassin ! Oui, il avait certainement du sang sur les mains le commandant Denoix de Saint-Marc, car c’était un soldat et son métier était de défendre sa Patrie contre des ennemis et, le cas échéant, de mourir pour elle. Ce sang sur ses mains c’était le sang des ennemis de la France, le sang des nazis lorsqu’à 17 ans il était devenu résistant et avant de se retrouver dans le camp de la mort de Buchenwald. Le sang des « Viets » en Indochine et le sang des ennemis FLN en Algérie. Son honneur est d’avoir obéi, d’avoir défendu sa Patrie, mais pas jusqu’au point de se parjurer sur ordre d’un traître, d’un complice de crimes contre l’humanité, d’un De Gaulle.
**Nostalgique de l’Algérie Française ? Non, nous ne sommes pas nostalgiques de ce pays perdu par des politiciens, nous sommes nostalgiques de ce pays que nous avons bâti avec notre sueur et notre sang en 130 années de colonisation. Et de ces territoires voués à la piraterie, barbares, incultes, marécageux, est née cette Algérie, l’un des plus beaux fleurons de la Méditerranée. Cette partie de la France était multiculturelle.
Nous ne sommes pas nostalgiques de ce pays qui est devenu une « poubelle » (Dixit Kamel Daoud), que ses enfants abandonnent par centaines de milliers pour se réfugier dans ce pays « honni » qui les a « colonisé », la France.
**On aura ta peau Ménard ! Ils auront peut-être sa peau ! Mais ce sera celle du courage quand, dressé sur l’estrade, il a dénoncé les assassins, les traitres, les falsificateurs de notre histoire : les De Gaulle, Benjamin Stora et les porteurs de valises communistes…et leurs héritiers qui continuent à hurler leur haine à 200 mètres.
Nous étions très nombreux (plus de 1500 c’est certain) à l’applaudir, à le soutenir, à l’aimer, et nous sommes rentrés chez nous, après quelquefois de très longs trajets, remettre nos « charentaises ».
Lui, Ménard, reste à Béziers, sa ville, face à cette meute haineuse, à ses insultes, à ses menaces !
Il a un courage redoutable Robert, ce « grand homme » de petite taille. Il a de la race et il est digne de défendre les mémoires de ceux qui ne sont plus parmi nous : les Denoix de Saint-Marc, Bastien-Thiry, Degueldre, Salan, Jouhaux, Zeller et tant d’autres qui ont eu le privilège et le courage de défendre la France, leur Patrie, envers et contre tous, en mettant leurs vies au bout de leur honneur.