Avez-vous pris votre abonnement 2024 ? Non ! CLIQUEZ ICI !
Ou alors participez avec un DON


Découvrez des pages au hasard de l’Encyclo ou de Docu PN
A compter du 25 mai 2018, les instructions européennes sur la vie privée et le caractère personnel de vos données s’appliquent. En savoir +..

Les fous du vaccin frappent toujours plus fort.

, par  NEMO , popularité : 5%
NJ-Ile de France

Ou bien Ils ont complètement perdu les pédales, ou bien ils ont une idée derrière la tête. Mais le masque + le gel hydroalcoolique + la vaccination + les gestes barrière + le passe sanitaire + la carte d’identité + les tests PCR + les tests antigéniques, vous ne m’enlèverez pas de l’idée qu’il y a quelque chose qui cloche là-dedans, comme le chantait Boris Vian.

JPEG - 81.9 ko

Je ne m’étendrai pas sur les arguments contre le passe sanitaire, ils ont été longuement développés par tous les médias alternatifs, ni d’ailleurs sur les arguments pour, ils ont été encore plus massivement matraqués dans tous les médias à la botte. D’autant plus que si vous êtes « pour » vous ne voudrez pas entendre les arguments des « contre », et inversement.

Non, moi, ce qui me met en rage, c’est que nos parlementaires de droite comme de gauche aient donné leur aval à une mesure délirante, l’obligation vaccinale pour les 12-17 ans. En nous assénant un argument définitif, susceptible de faire taire toute velléité de contestation : oui, bien sûr, les jeunes, à l’exception de comorbidités telles que l’obésité ou le diabète, ne risquent pas grand-chose du Covid. Certes, la plupart des cas positifs chez eux ne se traduisent par aucun symptôme… mais c’est justement parce qu’ils peuvent être porteurs sans le savoir de la vilaine bête qu’ils sont extrêmement dangereux pour les personnes à risque de leur entourage, en particulier leurs gentils papys et mammys !

Abject et écœurant. C’est à nos enfants et petits-enfants, pour lesquels la balance bénéfices-risques penche, de l’avis-même des médecins dignes de ce nom, du côté obscur, que l’on demande de protéger les adultes, quitte à y laisser à terme leur santé, et en les culpabilisant au passage. Qui peut dire en effet aujourd’hui, qu’il n’y aura pas, l’histoire de la médecine ne manque pas d’exemples, dans dix, quinze ou vingt ans, une flambée de cancers ou de dérèglements chez les jeunes vaccinés d’aujourd’hui ? Je ne connais pas, dans l’Histoire de l’Humanité, de peuple qui ait à ce point inversé les fameuses « valeurs » de la République dont on nous rebat à tout bout de champ les oreilles… Vous me direz que dans un monde qui glorifie la culture Woke, les délires du genre, l’intersectionnalité, les mères porteuses ou l’art conceptuel et le cinéma sans spectateurs, on peut s’attendre à tout.

Mais nos enfants, nom de D… ! D’autant plus que sous un discours pseudo-scientifique, il n’y a aucune logique dans les arguments des vaccinistes fous : quand ils vous balancent qu’il y a déjà des tas de vaccins obligatoires pour les enfants (11 aujourd’hui) et qu’on n’en fait pas un fromage, ils oublient soigneusement de préciser que ces vaccins obligatoires sont administrés à des enfants pour les protéger, eux, et pas pour protéger leurs contemporains. Que ces vaccins ont fait leur preuve depuis des dizaines d’années, et pour la plupart, ne sont administrés qu’une fois, avec un éventuel rappel à l’âge adulte, pour toute la vie. Avec les vaccins anticovid, on ne sait même pas à quel terme ils sont efficaces, pour quels types de variants, combien de doses il faudra injecter, à quel intervalle, et combien de temps.

Et puis, de deux choses l’une, messieurs-dames de la seringue : ou bien le vaccin protège le vacciné et son entourage, ou bien il ne protège pas. Les vaccinistes appointés affirment mordicus qu’il protège tous azimuts, et vous interdisent d’en douter. Dont acte. Aujourd’hui, toutes les personnes « à risque » ont eu l’opportunité de se faire vacciner, et donc, si l’on en croit nos Diafoirus, d’être protégées contre le Covid et d’en protéger les autres. Celles qui ne se sont pas fait vacciner l’ont fait en toute conscience, et en toute liberté. Un enfant non vacciné ne risque donc d’être un danger, toujours d’après ces mêmes éminents spécialistes, que pour des réfractaires au vaccin, qui, par définition, assument leur risque. Pourquoi obligerait-on les enfants à se vacciner pour protéger des personnes qui ne veulent pas se protéger ?

Conclusion provisoire : on oblige, dans les faits, à se vacciner, des enfants et des adolescents qui ne risquent rien du COVID, mais qui, sans passe sanitaire, seraient condamnés à une petite mort sociale, pour protéger contre leur volonté des quidams qui ne veulent pas se faire vacciner et qui se fichent du passe sanitaire parce qu’ils ne vont jamais au restaurant, au cinéma, au stade, dans une bibliothèque, en boite ou au Palais Bourbon.

Une information de dernière minute : en cas de test positif à l’école, la classe restera ouverte pour les enfants vaccinés, les non-vaccinés devront rentrer chez eux et se confiner pendant une semaine… Mais on vous le dit et vous le répète : la vaccination n’est pas obligatoire. Bande d’enfoirés !