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Le racisme rend idiot, l’antiracisme parfois bien + !

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Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

En prison, on met les Blancs d’un côté, les Arabes de l’un et les Noirs de l’autre. Après, il faut encore finasser…

Il est une évidence que le racisme rend idiot. Il en est une autre que l’antiracisme peut rendre mille fois plus nigaud, puisqu’il empêche de mettre les vrais noms sur les choses et « participe à la misère du monde », pour reprendre l’expression d’Albert Camus.

Ainsi, le 27 juin 2010, sur l’A13, Mohamed Laidouni est battu à mort devant sa mère et son épouse par neuf individus dont le procès vient enfin de commencer au tribunal de Versailles. Motif du crime ? Un simple accrochage n’ayant abîmé qu’un simple pare-chocs… Mode opératoire ? Au-delà de l’ignoble et de l’imaginable : les chaussures des présumés coupables étaient maculées de sang, tellement ils avaient pris la tête de leur victime pour un ballon de foot…

Seulement voilà, ce qui n’a pas été dit, c’est que si la victime était d’origine maghrébine, ses meurtriers étaient, eux, issus de l’Afrique subsaharienne, comme on dit. Bref, des Blacks contre des Beurs, les premiers ayant reproché aux seconds de s’être conduits comme des Français – ils avaient voulu faire un constat à l’amiable –, c’est-à-dire comme des Blancs…

Voilà qui ne cadre guère avec la vulgate politico-médiatique en vogue, laquelle va des publicités Benetton à La Haine, film de Mathieu Kassovitz, mettant en scène une banlieue fantasmée, où tous les « opprimés » du monde finissent par se donner la main pour se réconcilier sur le dos du Blanc, qu’il soit flic, bourgeois ou skinhead. Dans cet aimable trio, un Blanc, pardon, un Feuj, Vincent Cassel, alias Vince.

L’un de nos lecteurs, inspecteur de la BAC aux Tarterêts, d’origine maghrébine et de confession musulmane, en rit encore : « Ce type de bandes multiconfessionnelles ou multi-ethniques n’existe que dans l’imaginaire de scénaristes n’ayant jamais quitté l’appartement de leurs parents, généralement situé dans les beaux quartiers parisiens. » Un autre de nos lecteurs, gardien de prison, confirme : « Arrêtons de rêver les yeux grands ouverts. En prison, on met les Blancs d’un côté, les Arabes de l’un et les Noirs de l’autre. Après, il faut encore finasser… Éviter de mettre un Algérien dans la même cellule qu’un Marocain. Un Juif et un Goy ensemble. Et surtout se débrouiller pour qu’un Antillais ne soit pas avec un Africain… »

Voir en ligne : http://www.bvoltaire.fr/nicolasgaut...