Nous sommes au fond du trou, et chaque jour que Dieu fait, notre grand timonier creuse, toujours plus profond. Le seul espoir qu’il nous reste avec lui, c’est qu’il trouve du pétrole.
Tant pis si je me retrouve allongé par terre avec une demi-douzaine de robocops du GIGN sur le dos, mais je le dis quand même : Macron est un danger mortel pour la France. Macron, même les aveugles devraient s’en être aperçus, n’aime pas la France, déteste les Français, et peut-être bien l’humanité tout entière. Sans aller jusqu’à remonter à l’analyse faite il y a 6 ans par le psychiatre italien Adriano Segatori, (https://www.youtube.com/watch?v=YOhKBWTaOlY) que les décodeurs du Monde s’étaient empressés de disqualifier pour cause d’extrême-droitisme, il n’est que de lire l’ouvrage des duettistes du même journal de référence (LOL), Davet et Lhomme, « le Traître et le Néant », pour confirmer que notre président ne tourne pas rond.
Macron, je le répète, est un méchant et un rancunier (voir tribune d’il y a tout juste un an Macron s’est ridiculisé. Nous allons le payer ! ). Convaincu qu’il est supérieur (et de très haut) à tout le monde (je soupçonne qu’il se soit lui-même attribué le surnom de Jupiter, histoire de mettre les points sur les « i »)), il ne supporte ni la moindre critique, ni même une discussion ouverte. Pour lui, un « grand débat » est une réunion où lui parle et les autres écoutent et approuvent religieusement. D’où ses emportements lorsqu’un pauvre malheureux essaie de lui faire remarquer que sa vie n’est pas un chemin parsemé de pétales de roses. « Je traverse la rue et je vous trouve du travail, bossez, vous pourrez vous payer un costard comme le mien, les employées de Gad sont pour la plupart illettrées », et, récemment, à Marseille, bien qu’il l’ait nié, comme à son habitude lorsqu’il est mis en difficulté, « les smicards qui préfèrent se payer du VOD plutôt que de la bonne bouffe ». Macron ou le mépris, Macron ou la suffisance, Macron ou le mensonge permanent, habillé d’« en même temps ». Quand on lui reproche d’avoir invité « les soulèvements de la Terre » à un nième grand débat en ouverture du salon de l’agriculture, il s’indigne, « quoi, moi qui ai demandé la dissolution de cette association, ce n’est pas de ma faute si le Conseil d’État a retoqué mon ministre de l’intérieur (MDR, comme si le Conseil d’Etat allait se risquer à contredire le Président !), c’est un mensonge éhonté... Ah, vous avez vérifié, c’est bien de l’Élysée que vient l’information ? Oui, mais ce n’est pas moi, c’est une erreur ». Quelle erreur ? On ne sait pas, il ne le dira pas, Jupiter ne va pas s’abaisser à s’expliquer devant des journalistes à la botte qu’il méprise tout autant que le reste du monde... Cela dit, ceux des Français qu’il n’a pas encore réussi à lobotomiser l’ont bien compris : c’est parce que le Président l’a voulu que les soulèvements de la Terre ont été invités, et, comme d’habitude, il n’assume pas. Macron pensait pouvoir une fois de plus entortiller tout le monde, paysans des champs d’un côté et écolos des villes de l’autre… Mais ça n’a pas marché, alors Macron est très en colère après les Français, et sa vengeance a été quasiment immédiate…
C’est ainsi qu’Il vient tout juste d’annoncer à l’issue d’une réunion des chefs d’État européens consacrée à l’aide à l’Ukraine qu’il était impératif que la Russie perde la guerre, et qu’il n’était donc pas exclu d’envoyer des troupes françaises au sol au côté des chairs à canon Ukrainiennes. En clair, mes chers compatriotes, cela s’appelle une déclaration de guerre, venant d’un président d’opérette (ou plutôt de sinistre farce) qui n’a demandé l’avis de personne, s’asseyant ainsi tranquillement sur la Constitution (voir article 53 ci-dessous). Macron en battle dress, menant les opérations depuis son bunker souterrain à l’abri des missiles nucléaires, pendant que la France serait vaporisée. Le pied ! Je suis sûr qu’il en rêve pendant le peu d’heures où il dort.
Je vous le dis et le répète : il est temps que ce fou furieux dégage... (et encore, je ne vous ai pas parlé des migrants congolais qui nous arrivent par un véritable pont aérien, tout droit de Mayotte, transportés, nourris, logés à nos frais, cela vous filerait des aigreurs d’estomac).
Pour info : ARTICLE 53 de la Constitution de 1958.
« Les traités de paix, les traités de commerce, les traités ou accords relatifs à l’organisation internationale, ceux qui engagent les finances de l’État, ceux qui modifient des dispositions de nature législative, ceux qui sont relatifs à l’état des personnes, ceux qui comportent cession, échange ou adjonction de territoire, ne peuvent être ratifiés ou approuvés qu’en vertu d’une loi. »