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L’homme blanc périra par la femme blanche…

, par  NEMO , popularité : 5%
NJ-Ile de France

Nous avons laissé les « valeurs » féminines prendre le pouvoir… et les jours de l’homme blanc sont comptés.

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La chute de l’homme blanc a commencé après la deuxième guerre mondiale, quand les Derrida, Deleuze, Foucault et autres Bourdieu, horrifiés, à juste titre, par le nazisme (beaucoup moins par le communisme, comme quoi on peut être très intelligent et hémiplégique), se sont mis en tête de « déconstruire » la civilisation qui avait permis ces monstruosités, pour reconstruire à partir d’une table rase une humanité débarrassée de son agressivité mortifère. Leur diagnostic, pas totalement faux, fut adopté sans nuance par toute l’intelligentsia occidentale : c’est l’homme blanc, responsable des deux plus grands charniers de l’Histoire, esclavagiste, colonisateur, capitaliste, machiste, qui était la cause des malheurs du monde. L’homme blanc, pas la femme blanche, qui, tout comme Marie, était vierge de tout péché. La femme blanche qui, contrairement à son va-t’en guerre de compagnon portait des « valeurs » de bonté, de bienveillance, de compassion, bref, des valeurs de paix et d’harmonie. Remplacer l’agressivité masculine par la bienveillance féminine ferait du monde un paradis terrestre, dans lequel, cerise sur le gâteau, on pourrait se passer de la religion qui avait permis ces holocaustes, j’ai nommé le catholicisme…

Oui, mais ces phares de l’humanité avaient oublié une « valeur » fondamentale de la féminité, la soumission. Une soumission consentie et non pas imposée par les hommes, parce que les femmes, justement grâce à leur sensibilité innée, savaient, depuis l’aube de l’humanité, que le monde réel n’était pas enchanté. Que dans le monde réel, ce n’était pas grâce aux « valeurs féminines » que l’on survivait, mais aux « valeurs masculines » : primauté de la force, défense du territoire, du clan, de la famille, esprit de conquête, que l’on pourrait qualifier de valeurs « guerrières ». Nos penseurs éminents ont crû avec beaucoup de naïveté et de suffisance qu’après les boucheries des deux grandes guerres, le monde entier rechercherait la paix, et donc que les valeurs féminines s’imposeraient à tous les peuples. Le hic, c’est que l’Occident est la seule civilisation à avoir suivi avec zèle et enthousiasme les déconstructeurs, à avoir fait du mâle blanc une femelle au cœur d’artichaut, horrifié à la simple idée de la mort, toujours prêt à comprendre plutôt qu’à punir, à se laisser faire plutôt qu’à se défendre, à se soumettre plutôt qu’à conquérir…

Ce qui se passe aujourd’hui en France, en Europe et de plus en plus aux États-Unis, c’est une confrontation entre une civilisation régie par des valeurs féminines, et des envahisseurs (c’est le terme exact lorsque des millions de personnes non invitées débarquent chez vous sans votre permission) aux valeurs d’autant plus mâles que ce sont essentiellement des jeunes hommes que nous accueillons, avec une sollicitude toute féminine.

Le paradoxe est que les féministes occidentales et leurs avatars transgenre, après avoir déconstruit et « féminisé » l’homme blanc, se retrouvent en manque de soumission – on ne balaie pas en quelques décennies des milliers d’années d’atavisme-et ne ratent pas une occasion de se soumettre aux mâles non déconstruits que nous importons pour leur plus grande satisfaction. Les exemples ne manquent pas : c’est Cologne où les allemandes violées lors de la Saint Silvestre refusaient de désigner leurs prédateurs pour ne pas les stigmatiser, les pauvres chéris, c’est Caroline de Haas suggérant que l’on élargisse les trottoirs pour que les jeunes femmes puissent passer à distance de jeunes dont mentionner l’ethnie serait xénophobe et raciste, c’est le mutisme absolu de ces militant-e-s LGBTQI+ qui n’ont pas un mot de compassion pour leurs con-frères-sœurs agressé-e-s par des réfugiés sous OQTF qui fuient la guerre (sous entendu : eux, ce sont de « vrais » mâles, on ne va pas se plaindre), ce sont les films -sans public, et financés par nos impôts-, dégoulinant de bons sentiments et de migrants au grand cœur rejetés par une France moisie et raciste, mais qui finissent par croiser le chemin d’une militante « no border », avec laquelle ils vivront une torride histoire d’amour. Et c’est, hélas, à la tête de la France, des dirigeants à la sexualité interlope qui nous font payer cash leur pusillanimité.

Oui, le grand remplacement est bel et bien une réalité, mais pas celle qui est communément reconnue par la complot-facho-sphère (LOL). Le grand remplacement, c’est la substitution consentie de l’homme africain bien construit (et que la légende prétend avantageusement membré) à l’homme blanc déconstruit, dont la faculté de reproduction, selon de récentes études, serait en berne. Femmes blanches, vous n’êtes plus soumises à l’homme blanc… vous adorerez faire la cuisine, tenir le ménage et porter les enfants des hommes de toutes les couleur...