Beaucoup se plaignent qu’internet a libéré la parole antisémite, raciste, xénophobe, lui a donné des ailes, en cela aidé de l’anonymat dont disposent leurs auteurs.
Faut-il s’en plaindre ou s’en réjouir ?
Faut-il se plaindre d’avoir constaté, devant les salles pleines, que la banlieue se délecte du (...)