Paris - Samedi soir, dans le 19e arrondissement, un couple d’homosexuel a été agressé.

La semaine dernière deux jeunes femmes qui s’embrassaient en public, place de la république, ont été également agressées verbalement.

Il y a un mois, un mardi soir, dans le 20e arrondissement, devant un théâtre, c’était déjà un couple d’homosexuel (l’un des deux était un jeune acteur) qui se faisait « un petit câlin » en public, qui a été insulté et frappé par quelques voyous de passage.

Toujours ce même samedi soir, c’était le président de l’Association Urgence Homophobie, qui avait été insulté, traité de « Sale PD » et roué de coups (nez cassé), à la sortie d’un restaurant près du métro Etienne Marcel.

« Je suis homosexuel et nous sommes en 2018 » s’est-il écrié ! Et c’est bien là le problème.

Avant les années 90 on n’entendait que très rarement parler d’actes homophobes, pourquoi ? Parce que les homosexuels, et il y en avait presqu’autant qu’aujourd’hui, ne s’affichaient pas publiquement, ils avaient une certaine pudeur qui les protégeait. Mais, depuis quelques années, les « Gay-Pride » et leur spectacle d’un ridicule révoltant, les ont médiatisés et ils en supportent les conséquences.

Ce qui est dramatique c’est que ce milieu homosexuel est, en majorité, complice de l’immigration clandestine et de la progression constante d’une religion musulmane qui condamne l’homosexualité, et va même jusqu’à la punir de mort !

Et tout le monde se lève, non pas pour « Danette », qui vient d’entrer au gouvernement, mais pour défendre becs et ongles l’homosexualité agressée.

La maire de Paris, Anne Hidalgo, y va de son petit discours de soutien : « Ne soyons jamais indifférent. Il est hors de question de nous résigner face à cette violence ! »

Face à l’autre violence, combien plus grave, combien plus meurtrière, combien plus de victimes, combien plus d’agressions, de vols, de viols, qui frappe le nord de votre capitale où des bandes de « migrants isolés illégaux » sèment la terreur, où les personnes âgées, et même les plus jeunes, évitent de sortir dès la nuit tombée…contre cette violence vous pouvez vous résigner ?

Le groupe UDI-MoDem du Conseil Municipal estime que les « violences homophobes « Ce n’est pas paris »…donc Paris c’est toutes les autres violences, celles des voyous, des casseurs, des migrants illégaux, qu’ils soient mineurs ou adultes ? Vous demandez à la maire de la capitale et au préfet de police de prendre toutes la mesure de cette menace homophobe grandissante et de mettre en place « tous les moyens nécessaires pour assurer la sécurité des personnes et des lieux LGBTI à Paris ».

Si je vous comprends bien, il n’est pas nécessaire de mettre en place tous les moyens pour assurer la sécurité des personnes et des lieux qui ne sont pas homosexuels ? Les « hétéros » peuvent se faire massacrer, vous vous en moquez totalement ?

Et Pierre-Yves Bournazel, député de la 18e circonscription, y ajoute la sienne : « Ces actes de violences et de haines sont inacceptables ».

Ils le sont, inacceptables, mais pas davantage que tous les autres, les « hétéros » n’ont pas plus le droite d’être insultés, frappés, tués, que les « homos » !

Et, pour en terminer avec cette mobilisation « spontanée », c’est Jean-Luc Roméro, conseiller régional de l’Ile de France, conseiller de Paris, et leader emblématique de cette (encore) minorité « Gay », qui est « Inquiet face à la succession des agressions homophobes ».

Apparemment il l’était bien moins, inquiet, au sujet des affrontements des bandes de voyous qui laissent des blessés et des morts sur les trottoirs de Paris et de sa périphérie. L’avez-vous entendu, son inquiétude ?

Oui, les « homos » ont peur, et on peut le comprendre, mais Paris et sa périphérie ont peur également mais tout ce beau monde s’en fout royalement !