Avez-vous pris votre abonnement 2024 ? Non ! CLIQUEZ ICI !
Ou alors participez avec un DON


Découvrez des pages au hasard de l’Encyclo ou de Docu PN
A compter du 25 mai 2018, les instructions européennes sur la vie privée et le caractère personnel de vos données s’appliquent. En savoir +..

Fin de partie pour les émeutiers, mais qui a gagné ?

, par  NEMO , popularité : 7%
NJ-Ile de France

Depuis que les émeutes se sont calmées, c’est-à-dire depuis qu’on est revenu à une délinquance ordinaire avec son cortège de faits divers qui laissent parfaitement insensibles ceux des Français qui ne les subissent pas (encore, mais ils ne perdent rien pour attendre), on entend ici et là raconter que ce sont les dealers et les imams qui ont sifflé la fin de la partie. Et on se rassure : encore une preuve que c’est le fric qui mène le monde, ça finira toujours par s’arranger.

JPEG - 28.3 ko

Ben voyons, comme dirait quelqu’un que je connais. Sauf que, s’il est très vraisemblable que dealers et imams ont bel et bien fait cesser les pillages, et non pas, bien sûr, la fermeté du ministricule de l’Intérieur, ce qu’on cache, et pour cause, c’est que ce sont eux aussi qui les ont organisés. Et ce que l’on oublie de préciser, c’est que s’il est vrai que le fric mène le monde, c’est parce c’est grâce à lui que l’on obtient la chose la plus désirable de l’Univers, le pouvoir. Analysons ces émeutes du point de vue du « pouvoir », et vous verrez qu’il n’y a pas de quoi pavoiser.

Jamais, un incident aussi banal que la mort d’un voyou de 17 ans, qui aurait probablement fini comme tous ses collègues racailles par se faire buter par un concurrent, n’aurait provoqué un tel cirque s’il n’y avait pas une force organisée pour le concevoir et l’encadrer. Tous les jours des « djeunes » s’entretuent dans les quartiers chauds de nos villes, et tout le monde s’en fout, y compris les « djeunes eux-mêmes ». C’est le fait que ce soit un policier qui ait abattu le « petit ange » qui a fourni le prétexte attendu et espéré pour déclencher les grandes manœuvres. A ce propos, il ne vous aura pas échappé que la plupart des guerres de conquête commencent par un « incident » mineur monté en épingle, ou carrément provoqué par l’agresseur (Hitler envahissant la Pologne, l’assassinat de Sarajevo, le Japon et la Chine, les États-Unis et l’Irak, les États-Unis et le Kosovo, les États-Unis et l’Espagne, les États-Unis et le Mexique, les États-Unis et..etc…). La mort de Nahel, ils n’attendaient que ça, les dealers, les imams, les Black lives matter, les Traoré (qui avaient besoin de relancer leur petite entreprise en perte de vitesse) et tous les salopards d’islamo-gauchistes.

Mais pourquoi, me direz-vous, auraient-ils sifflé le début de la partie, alors que leur business avait beaucoup à perdre, soi-disant, dans l’affaire ? Eh bien pour une raison bien simple, et tellement évidente qu’elle crève les yeux et que, donc, on ne veut pas la voir : parce qu’il s’agissait d’un investissement à la fois financier et « politique »  ; pour tester la résistance de ce qui reste de l’État français, et pour conquérir de nouveaux territoires pour l’Islam et les trafics, lesquels ont, à l’évidence, partie liée. Une fois la victoire acquise, et de quelle manière, il n’y avait aucune raison de continuer un combat devenu sans objet. Avant les émeutes, ces braves gens « ne contrôlaient que » la banlieue de Paris et de quelques grandes métropoles (vous aurez observé que ces terres vierges de toute autorité républicaine sont restées plutôt calmes pendant la tempête, et pour cause, elles étaient déjà conquises) ; se sont ajoutés depuis le martyr de saint Nahel des quartiers entiers de petites villes, de gros bourgs, et même de villages, qui sont dorénavant interdits à la police, à la gendarmerie et aux natifs blancs. Pas mal, non ?

Mais il y a encore mieux : en dehors même de ces « territoires perdus de la République », c’est sur toute la France que les forces de l’ordre se sont vu interdire de séjour lorsqu’un « racisé » est en cause. Plus d’interpellation, donc plus de refus d’obtempérer, au lieu des 27.000 annuels répertoriés, plus de poursuite pour vol, pour viol, pour meurtre, pour trafic de stupéfiants. Une immunité « diplomatique » pour tous les diversitaires, en quelque sorte…

Quelques garde à vue, quelques peines de prison sans place de prison, quelques stages de citoyenneté où l’on apprendra que ce n’est pas gentil de mettre le feu à une école, des amendes et des dommages et intérêts qui ne seront jamais payés, et pas un seul mort du côté des émeutiers voleurs casseurs, mais la police tue, on vous dit ! Ça valait bien quelques jours de recettes perdues, vous ne croyez pas ?