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Bloc-notes : Donald Trump sonne la fin de l’angélisme

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Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

Donald Trump est un cauchemar pour ses angéliques adversaires. Ils voudraient voir en lui un plouc en sursis. Mais les faits leur donnent tort. Certes, l’acteur Robert De Niro a reçu, dimanche, les vivats du public new-yorkais pour avoir crié sur scène, les poings levés : "Fuck Trump  ! " ("J’emmerde Trump   ! "). Après la décision du président américain de suspendre un temps, le 24 mai, les discussions avec la Corée du Nord, Le Monde avait titré, avec d’autres : "La méthode Trump en échec". Or l’Histoire se montre aimable avec le proscrit du show-biz, des médias et autres enfants de chœur. L’accord conclu, mardi à Singapour, entre Trump et Kim Jong-un est un coup de maître. Il se mesure à l’aigreur des dépités. Alors que les "experts" prédisaient le clash et la duperie, tous deux ont signé un document dans lequel le Coréen réaffirme "son engagement ferme et inébranlable en faveur d’une dénucléarisation complète de la péninsule coréenne". Les pinailleurs pinaillent.

Le jeune tyran n’est pas devenu pour autant fréquentable, après s’être ainsi habilement hissé au niveau de la première démocratie du monde. Sa dictature communiste demeure encore ce qui se fait de pire. Toutefois, ce qui restait d’anachronique dans ce reliquat de guerre froide prend théoriquement fin. Il est à espérer que Trump et les dirigeants de la Corée du Sud sauront inciter le despote à ouvrir rapidement son pays-prison au monde qu’il a choisi d’approcher et de visiter. La poignée de main de mardi est déjà de celles qui resteront dans les livres. À ce rituel, le Coréen n’a pas eu à malaxer les doigts de l’Américain, à la manière d’Emmanuel Macron, pour mimer sa domination. Vendredi, des médias ont désigné le président français vainqueur de Trump, au G7 (Québec), au prétexte qu’il avait laissé la trace "féroce" de son pouce sur la peau de son rival. "Ma poignée de main, ce n’est pas innocent ", avait théorisé le chef de l’État il y a un an. En dépit de ses pénibles défauts, Trump se grandit de l’infantilisme de ses adversaires.

Ceux qui reprochent au milliardaire hâbleur ses foucades et son narcissisme se comportent en prêcheurs apeurés et plaintifs, dépassés par les événements.

Voir en ligne : http://blog.lefigaro.fr/rioufol/201...