C’est bien de dire la vérité au malade, d’employer les mots justes, et non, sous prétexte de ne blesser personne, de se cacher derrière les euphémismes dictés par le « politiquement correct ». C’est même très bien, à condition de ne pas se tromper. Dans le discours qu’il a prononcé à l’occasion de ses voeux (...)