Le voilà abattu, le chérif de Strasbourg :
Il n’aura ni trompette, pas même un tambour
Pour l’accompagner à sa dernière demeure,
Mais quand on est salaud, c’est ainsi que l’on meurt.
Il a d’abord tiré sur nos braves gendarmes :
Par-devers lui, il avait encor bien des armes…
La police a tiré là où il le fallait,
Liquidant le salaud, bravo ! et du balai !
Massacres perpétrés, il s’était éclipsé
Au centre de ville, dit "Plaine des Bouchers" :
Voilà qui présumait d’être vite passé
Par les armes et d’être enfin sur le plancher.
Le salaud partira les deux pieds bien devant
Baignant dans son linceul tout pourri de son sang :
La leçon est dite pour que dorénavant
Tous ces cinglés de dieu demeurent vagissants.
Merci Allah de m’avoir enfin entendu !
Je n’avais rien compris de mes malentendus. (13/12/2018)