Vous êtes toujours là à guetter quelque faille :
Pour vous oublier faut-il donc que je me taille
Ou faudra-t-il peut-être que, vaille que vaille,
Dans vos propres filets vous prendre dans les mailles ?
Corrigez tout d’abord votre mauvais français !
De vos barbarismes j’en ai bien plus qu’assez,
Pourtant un dico pourrait en crever l’abcès,
Le Littré devrait bien en faire le procès.
Vous êtes pourtant fonctionnaire haut-placé,
Paré de vos galons qui vous ont engoncé :
Vos études doivent dater du crétacé,
Carapaçonné, vous devîntes crustacé !
Et vous n’en finissez pas de me harceler,
A vouloir de ma vie toujours tout contrôler
Jusqu’à savoir enfin si j’ai éjaculé,
Prenant malin plaisir à y batifoler.
De vos objurgations épargnez les vétilles
Pour me condamner à marcher sur des béquilles,
C’est sans cesse que mon argent elles titillent…
On termine donc là et que vive la quille ! (20/07/16)