PAUVRE PEILLON
Avec son titre d’agrégé,
Si bienveillamment adjugé (bis),
Il en a fait notre ministre
Tant et tant de choses sinistres.
R. : Pauvre Peillon, pauvre misère,
L’école n’est plus qu’un désert.
Avec sa gueule d’ahuri
Et son sourire endolori (bis)
On le dirait sorti de terre
Mon Dieu ! Quelle grande misère !
Il a réduit le temps scolaire
Pour gonfler le parascolaire (bis)
En donnant droit à nos mouquères
De se voiler de moustiquaires.
Nos enfants auront l’air malin
Le féminin, le masculin (bis)
Ne sont plus qu’une aberration
Sans plus de différenciation.
Il a expurgé de l’Histoire
Ce qui faisait notre Mémoire (bis),
Pour mettre en avant l’islamisme,
Conduisant au catastrophisme.
Et maintenant à la Shoah,
Il donne une place de choix (bis)
Pour étaler ses origines,
Violacé comme une aubergine.
Toujours pris de court pour complaire
Il ne sait vraiment plus quoi faire (bis)
Fourguant partout dans les programmes
Ce qui pourra tuer notre âme. (27/01/14)