Les Français ont voté pour le pouvoir d’achat, les c..s !

Quel bel été nous avons passé les amis ! Pas un jour sans un coup porté au niveau du cou par un couteau assoiffé de sang, sans un rodéo qui se termine mal pour un piéton (qu’est-ce qu’il foutent à marcher sur un trottoir, ces cons de piéton, au lieu de rester chez eux à regarder BFMTV, je vous le demande) ou un enfant qui jouait dans la rue au lieu de faire ses devoirs, sans un petit vieux qui se fait rouer de coups par une dizaine de racailles, juste pour le plaisir, sans un refus d’obtempérer qui se termine mal – ces salauds de flics racistes qui arrêtent au faciès de braves citoyens auxquels il n’y a rien à reprocher, sinon qu’ils leur foncent dessus pour les écraser, que la voiture dans laquelle ils roulent a été volée, que le conducteur et ses passagers sont bien connus des services de police, que certains d’entre eux en sont à leur vingtième condamnation pour vols, agressions, délit de fuite, viols, et qu’ils font l’objet d’une OQTF. Et que serait la rubrique des faits divers qui nous distrait pendant les vacances sans ces violeurs Afghans, Pakistanais ou subsahariens qui s’en prennent, en pleine rue et en plein jour, à des femmes - que font ces houris impudiques dehors, seules, sans frère ou mari, parfois même en jupe, qui ne cachent ni leurs cheveux, ni la naissance de leurs seins, ni leurs jambes ? Ces salopes, ces chiennes en chaleur qui provoquent nos hôtes migrants n’ont que ce qu’elles méritent -. Pas une nuit non plus sans mortiers d’artifice tirés sur des commissariats par des commandos diversitaires, des « forces de l’ordre » (un oxymore) agressées, des pompiers et même des médecins du Samu caillassés … Pas un jour ouvrable sans un policier mis en examen pour avoir osé se servir de son arme contre des racailles angéliques. Et pas une minute sans une tartarinade de notre ministre de l’Intérieur. Oui, quel bel été, et quelle belle France !

Quelle ironie aussi ! Les Français ont choisi de voter pour le pouvoir d’achat, on constate tous les jours ce qu’il en est. Quant à l’insécurité que les Français n’ont pas voulu voir, le président réélu a l’air de s’en foutre comme de sa première maîtresse (d’école). Cynique, il vient en plus de nous annoncer froidement et les yeux dans les yeux (enfin, pas tout à fait dans les yeux, vu qu’il souffre d’un léger strabisme) que ceux qui ont cru à ses promesses sont de gros cons, que le temps de la rigolade et de l’abondance était terminé (pour nous, par pour lui), et qu’avec un peu de chance, et pour finir en apothéose avec la France qu’il déteste, on allait faire la guerre à la Russie – que des millions de Français soient vaporisés par des bombinettes nucléaires, il s’en fout : tout est prêt pour qu’il se réfugie avec son gouvernement en exil chez ses protecteurs américains, d’où il pourra continuer le combat contre les forces obscures, barbe de deux jours et battle-dress sans décoration, un vrai chef de guerre d’opérette.

Hé bien croyez-moi, malgré tout, je n’ai aucun ressentiment envers Macron, je ne lui en veux pas d’avoir encore une fois ridiculisé la France lors de son voyage en Algérie, je ne lui en veux pas d’avoir vendu notre indépendance énergétique aux américains, je ne lui en veux pas d’avoir abimé la fonction présidentielle au-delà de l’imaginable, je ne lui en veux pas d’être un combinard bidon et affairiste qui achèvera de détruire la France, si on lui en laisse le loisir.

Mais j’éprouve une véritable répulsion pour ces Français, mes compatriotes, hélas, qui, en 2022, en toute connaissance de cause, sachant cette fois à qui ils avaient à faire, ont reconduit ce pantin méphitique à l’Élysée. Par veulerie, pour ne pas être dérangés par la réalité, pour ne pas se « mouiller ».