PREPARER L’AVENIR

Oui monsieur Zemmour, il faut préparer l‘avenir.
Apprendre aux enfants qui vont à l’école en France à parler français comme cela se faisait en Algérie quand la première action des officiers français, hors du temps de guerre, était d’organiser une école pour tous les enfants du lieu dont ils étaient responsables. Peu d’enfants parlaient français, ils parlaient la langue de leurs parents, espagnol, italien et autres, et le patois de leurs parents français.

Apprendre à ces enfants, les fables de La Fontaine, et d’autres auteurs français dont tous les français avaient entendu parler et dont ils avaient lu des extraits.
Apprendre à compter humblement, et à réciter les tables d’additions et de multiplications en chantant pour mieux les retenir. C’était ce qui se faisait et qui avait des résultats certains.

Munis de ces savoirs de base, ils arrivaient, à dix ans, en sixième et savaient beaucoup plus de choses non politiques que nos bacheliers d’aujourd’hui qui ne savent ni écrire, ni parler correctement sans être aidés par des artifices d’intelligence artificielle.

J’irai plus loin que vous. Pour préparer l’avenir il faut redonner aux femmes le même pouvoir qu’aux hommes. Elles l’ont en droit, mais vivre, ce n’est pas obéir à un droit, surtout quand ce droit est politisé et ne correspond pas à la réalité.

Il faut que les femmes puissent faire des enfants en gagnant leur vie. Instituer des primes et des avantages financiers important pour leur donner envie d’avoir des enfants. Mais non c’est l’IVG qui doit devenir constitutionnel. L’IVG peut et doit rester utilisable pour celle qui le veulent mais de là à intégrer la Constitution il y a une différence.

La constitution française à déjà intégrer le principe de précaution, ce qui est, à mon avis, une ânerie destinée à infantiliser le peuple. Bientôt la Constitution obligera les français à aller chez le docteur, à faire leurs achats d’une certaine manière, à vivre leur intimité selon des principes constitutionnels.

La Constitution est un ensemble de règles de vie en société, acceptées par une large majorité. Pourtant les sociétés chrétiennes, contrairement aux sociétés romaines grecques et autres, qui n’excluaient personne en raison de leur comportement sexuel, en raison de leur intimité, ces sociétés chrétiennes ont jeté l’opprobre sur certain comportement sexuel, les homosexuels sont devenus des gens à faire disparaitre de la société.

Les sociétés musulmanes ont été encore plus violentes contre les homosexuels alors que l’isolement des femmes musulmanes poussait les jeunes hommes à satisfaire leurs besoins sexuels entre eux.

Tous ces exclus de la société se sont regroupés, l’union fait la force, pour retrouver le droit de vivre normalement.

La politique s’est aussitôt emparée de ces groupes, l’homosexualité est devenue une position politique plutôt de gauche parce que la société traditionnelle était réputée être de droite.

Jusque là on ne parle que des hommes. Dans le monde chrétien, la sexualité n’est tolérée que parce qu’elle aboutit à la naissance d’enfants, « croissez et multipliez » a dit le Christ. Il n’est pas question de plaisir sexuel, comme de plaisir de gourmandise, un chrétien n’espère que le martyr.

On ne parlait de l’homosexualité des femmes que comme d’une chose courante et sans importance puisqu’il n’y avait pas d’enfants issus de cette homosexualité. Pour les hommes il y a les dominants et les autres, seuls les dominants peuvent avoir la parole, il n’est pas question d’enfant mais de prestige.

En fait seuls les hommes forts hommes ont droit à la parole sociale. Bien que depuis quelques années les femmes émergent de leur Harem, prennent la parole en public et sont même auditionnées dans les medias et donc entendues socialement, elles restent quand même dépendantes des règles sociales appliquées dans nos pays démocratiques.

Comme « la raison du plus fort est toujours la meilleure »et que les plus forts sont, à peu d’exception près, les plus riches, et comme la force physique n’est plus forcément un avantage, c’est en leur donnant le pouvoir de l’argent que les femmes pourront, en même temps »( très à la mode en ce moment)vivre une vie de femme naturelle, avoir des enfants et mener une vie sociale normale.