Manifestation du 5 décembre
Peut-être que cette date restera dans l’histoire de la présidence de monsieur MACRON.
J’y assiste à la télévision. Je me méfie beaucoup de ce que nous montrent les chaînes de télévisions et leurs journalistes.
Je sais qu’un sondage récent a montré que dans les écoles de journaliste les élèves se déclaraient à cent pour cent « DE GAUCHE », j’ai bien dit à cent pour cent. Comment peut-on ne pas se méfier d’une telle unanimité ?
La manifestation d’aujourd’hui est en partie organisée pour réclamer le droit aux journalistes de filmer le visage des policiers et de les montrer à la télévision. Or pendant la manifestation pour Adama Traore, un individu, monté sur un monticule haranguait la foule en proférant des insultes contre la France, contre les policiers, contre les juges, contre les blancs. On entendait ses paroles et il était filmé de dos de sorte que personne autre que les manifestants ne le reconnaisse. Les journalistes ce jour là ont fait ce qu’ils considéraient être leur travail : protéger ce manifestant !!!!
Aujourd’hui si le gouvernement voulait vraiment protéger les commerçants, les voitures garées dans la rue, le mobilier public et le reste, il aurait un moyen sur et sans danger pour les manifestants, de refroidir leur ardeur destructrice. Il suffirait d’utiliser les canons à eau, déjà par ce froid, beaucoup seraient dissuadés de persister dans leur malfaisance. De plus si on mettait du bleu de méthylène dans l’eau de ces canons, tous les manifestants pourraient être repérés facilement et être appelés à expliquer leurs faits et gestes devant la justice pour trouble à l’ordre public.
Mais le gouvernement visiblement ne veut pas arrêter les troubles à l’ordre public sous prétexte de droit à manifester. Plus les commerces, déjà presque morts, tués par les confinements et toutes les mesures anarchiques et incompréhensibles appliquées au moyen d’une terreur distillée à grande échelle, d’une maladie, et plus les individus isolés seront réduits à la misère, plus le gouvernement aura une chance de rester dans l’histoire, peut-être pas d’être réélu, quoique le moyen de la terreur sera sans doute employé pour justement et malgré tout, être réélu.