Je l’ai déjà écrit maintes fois : ce type est un malade. Et le problème, c’est qu’au lieu de l’enfermer dans un hôpital psychiatrique, on l’a élu (2 fois !) président de la République Française !

Vous savez ce qui restera de ces 8 + 2 (à venir) ans de présidence de cauchemar ? L’odeur et le goût de la mort. Macron est l’ange de la mort. De ses réformes sociétales, on a beau chercher, on ne voit que des cadavres. Cadavres d’enfants dans le ventre de leur mère avec la constitutionnalisation de l’avortement, cadavres, avec l’euthanasie, maquillée en aide à mourir dans la dignité, de vieillards, d’handicapés, de malades mentaux, de déprimés… De son activité de chef de l’État, on ne retient que son désir morbide de détruire. Détruire la France en la vendant à l’encan, en l’abaissant, en l’humiliant, en la culpabilisant, en ouvrant grand les frontières à nos envahisseurs… et son obsession de la guerre. Guerre aux non vaccinés qui refusent de jouer les cobayes, aux pauvres qui ne peuvent pas se payer des voitures électriques, aux familles (sans commentaire), aux paysans et aux artisans qui ne veulent pas capituler devant des groupes industriels internationaux qui n’ont qu’un objectif : le fric, le fric, le fric ! Et la vraie guerre, aussi. Avec des soldats, des fusils, des bombes, des chars, des avions, des boucheries, des holocaustes, des massacres. Son rêve, la jouissance qui lui fait prendre son pied : attaquer la Russie, appuyer sur le bouton nucléaire, depuis le bunker présidentiel, à 100 mètres sous terre, entre deux rails de coke et une caresse sur les fesses de Kiddy Smile, contempler l’apocalypse filmée par les satellites, assister à la fin de l’humanité et disparaître.
Ce type est un malade, un fou, un déséquilibré. Rien ne le touche, rien ne le gêne, rien ne l’embarrasse. Tout semble glisser sur lui. Il se fait insulter partout où il passe (la séquence humiliante (pour la France) où à 0ran, il se fait traiter « d’enculé »), il sourit, remercie, fait comme si on l’adorait. Sa femme le gifle devant les caméras, il sourit. Il se fait ridiculiser par Erdogan, empapaouter par Biden, renvoyer à la niche par Trump, mépriser par Tebboune, il sourit, ça glisse, ça glisse… Et au lieu de se faire oublier, il pérore à la télé, toujours très content de lui – lui est parfait, ce sont les autres qui ne sont pas à « sa » hauteur, et qui d’ailleurs ne peuvent pas l’être, tant il est grand et tant ils sont petits-, assénant tranquillement de (très) gros mensonges avec un aplomb à rendre jaloux Pinocchio. Chaque fois qu’il le peut, il provoque. Et on dirait qu’il n’en a rien à foutre ! Ne serait-ce que ces derniers jours, qu’avait-il besoin d’accueillir l’équipe de foot du PSG par un « champion, mon frère », d’une vulgarité de caïra, suivi d’une ode au Qatar -le vrai vainqueur du match-, ou de se prosterner devant le mausolée d’Ho Chi Minh (7000 prisonniers français morts de faim et de mauvais traitements), alors qu’il y a longtemps que les vietnamiens sont passés à autre chose ?
A son propos, on cite souvent l’ecclésiaste, « malheur à la ville dont le prince est un enfant ». Si seulement. Il y a plus grand malheur, c’est quand le prince est un dément… ou un démon ?