MAGISTRATURE

L’école de la magistrature a été crée en France en 1958. A cette époque De Gaulle était président de la république. Le parti communiste tenait en main tous les pouvoirs de l’état sauf l’armée, même la médecine obéissait aux directives de ce parti. C’est à ce moment, juste après la mort de De Gaulle que le numerus clausus a été créé.
Le gouvernement de l’époque a décidé d’ouvrir une école spéciale pour former les juges.

Jusque là le recrutement des juges était fixé par le ministère de la justice en fonction des besoins du pays. Ce ministère organisait un concours de recrutement entre toutes les universités qui enseignaient le droit. Toutes les universités et leurs enseignants se déclaraient « de gauche ». Mais la concurrence entre les universités assurait une diversité favorable à la manifestation d’opinions différentes.

En créant une école où TOUS les futurs magistrats donc même les procureurs seraient formés le gouvernement s’assurait d’avoir tous le corps de la magistrature à sa botte, communiste.

L’incident du « mur des cons », et la non condamnation des responsables est significatif de l’orientation politique des magistrats en France.

On sait que la jurisprudence permet de modifier la loi.

Tous les abus et même tous les délits commis par les membres du parti communiste échappaient ainsi à toute condamnation. On se souvient du sort réservé à un professeur d’université qui prétendait mettre en doute l’existence des camps de la mort en Allemagne pendant la guerre. Même si on n’est pas d’accord avec lui, il n’émettait qu’une opinion, c’était son droit. Ses agresseurs restent à condamner.

Depuis « L’EPURATION » en France, la terreur a fait disparaître tout ce qui n’était pas communiste.

Quelques fois, le retour en arrière, à condition qu’il tienne en compte l’évolution de la société peut être salutaire.

REVENONS A LA LIBERTE DE PAROLE.