Le parti de l’islam présente, au nom de la démocratie musulmane – ce n’est pas une blague – ses candidats aux prochaines élections départementales ex-cantonales.

Il ne va pas tarder à devenir le premier parti de France et faire ainsi un pied de nez à tous ces cons qui veulent nous faire croire que le vote communautaire n’existe pas.

Mais ce n’est pas un parti de l’islam, c’est l’islam qui fait de la France sa patrie.

Certains vont me répliquer que les chrétiens aussi ont leur parti, ce qui est vrai, même si leur poids est marginal. Mais il y a une différence de taille : d’une part ils n’œuvrent pas à la destruction de la République, et d’autre part ils sont laïcs jusqu’au bout des ongles.

Etre musulman, c’est la négation de la démocratie et la laïcité.

L’islam amalgame les différentes sphères des pouvoirs. Il n’y a pas de neutralité politique de l’islam.

L’islam a fait de ses fidèles des bombes à neutron pour asservir l’humanité et détruire les modes de pensée qui ne sont pas de son bord.

Comment peut-on imaginer que la démocratie aille de pair avec l’islam, alors que la première veut mettre l’homme au coeur de la vie de la cité, et le second fait d’Allah le seul et unique maître de la vie des hommes. Ils ne peuvent ni se juxtaposer, ni se superposer. Ils ont des propriétés antinomiques.

La démocratie n’est pas mortelle, pour l’islam. Elle a de place pour tous les hommes qui aspirent à vivre ensemble. L’islam est un poison mortel non pas seulement pour la démocratie mais pour tout humain qui ne croit pas en lui.

L’islam ne reconnaît qu’une seule logique pour la cohabitation harmonieuse entre les hommes : celle qui consiste à nier les droits à la différence et à la liberté de pensée et de convictions.

Les islamo-compatibles, les naïfs, ne manqueront pas de se faire les avocats de ce parti de l’islam appelé l’Union des démocrates musulmans français en plaidant la cause de ce nouveau-né, en insistant sur son caractère républicain et inoffensif, même s’ils dissimulent leur scepticisme.

Ceux qui draguent depuis des années les voix des musulmans à coups de constructions de mosquées, financées par vos impôts sous le couvert de centres culturels ou de terrains loués pour 1 euro, se sentiront cocufiés par ces ingrats. Ils auraient pu le voir venir. Ils espèrent que l’UDMF sera mort-né.

La chute de Byzance s’est faite par la ruse, et un musulman ne s’avoue jamais vaincu tant qu’il n’a pas piégé sa proie. Ce parti à caractère religieux n’aurait jamais dû bénéficier de l’autorisation préfectorale.

Au point où nous en sommes, pourquoi pas un parti des Témoins de Jéhovah démocrates, des Juifs démocrates, des Bouddhistes démocrates, des Animistes démocrates, des Athées démocrates ? Eux, leurs systèmes de pensée, leurs croyances sont compatibles avec les valeurs de la République, contrairement à l’islam, danger mortel pour les fondements de la République.

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L’islam se veut religion, Etat et monde. L’homme n’a pas voix au chapitre, il doit suivre la voie qu’Allah lui a tracée, il n’a pas à être ni une force de proposition, ni à discuter du choix du modèle de société qui lui convient.

L’islam est un mode de gouvernance politique qui exige de ses fidèles une allégeance totale et absolue.

Prôner la démocratie, c’est s’éloigner de la voie de l’islam. C’est commettre une hérésie punissable de la peine de mort.

En revanche, il est permis aux musulmans de tromper son auditoire en arborant les masques de circonstances pour les besoins de la cause de l’islam.

Ce parti, qui est une insulte à la démocratie, est moins guidé par les intérêts de la France que par les intérêts de l’islam.

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