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Le Covid s’en va… L’ogre Russe revient.

, par  NEMO , popularité : 2%
NJ-Ile de France

Ou comment, par la peur, maintenir en coma profond la « populace », pendant que les « élites » dansent.

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Notre président est un sale type, ça ne fait pour moi pas l’ombre d’un doute. Je n’éprouvais pas une tendresse particulière pour ses prédécesseurs, mais Macron, je crois bien que je le déteste. Je le déteste non pas tant parce que c’est le pire chef d’État que les veaux de France se soient donnés, que parce que non content d’humilier notre pays à chaque occasion qui lui est offerte, il promène à nos frais et dans le monde entier sa tête à claques de fayot autosatisfait.

Nous avions eu 5 ans pour apprécier ce prédateur à sa juste valeur - proche du zéro absolu -, pourtant, il a été réélu, et dans un fauteuil. De quoi vous dégouter de vos cons-temporains, lesquels se répandent depuis en lamentations sur l’air de « on ne voulait pas ça, il faudrait qu’il démissionne, mon dieu que va devenir ma retraite, on ne m’y reprendra plus (jusqu’à la prochaine fois) et autres pleurnicheries écœurantes ! Allons, même si j’ai du mal à le reconnaître, Macron, s’il est éminemment « toxique » pour la France et les Français, comme l’écrit Etienne Campion, journaliste à Marianne, est excellent pour saisir toutes les opportunités, bonnes ou mauvaises, propres à servir ses seuls intérêts.

Sans remonter à 2017 et à son invraisemblable élection, il y a eu, début 2020, le Covid. A cette époque, la statue de Macron commençait à sérieusement vaciller. La populace donnait des signes préoccupants de réveil : de ci de là se posaient des questions sérieuses sur la santé mentale du président, sur ses foucades, sur le mépris qu’il affichait envers ceux qui n’avaient qu’à traverser la rue pour trouver un boulot, ou qui pourraient se payer un costard comme le sien si seulement ils daignaient se remonter les manches, sur son faux courage « qu’ils viennent me chercher », entouré par une armée de gardes du corps,et sa vraie lâcheté lorsqu’il s’enfuyait, terrorisé, devant les gilets jaunes. Et puis vint l’épisode béni du Covid. Un président chef des armées, « nous sommes en guerre » contre l’épidémie, le regard sur la ligne bleue des Vosges, quel homme, quel chef, quel président. Avec lui, le Covid n’a qu’à bien se tenir. Pour le reste, on oublie… Le peuple des gueux, c’est bien connu, n’a pas de mémoire.

Et pendant ce temps-là, l’élection présidentielle approche. La mayonnaise macronaine, confinée, se met à tourner. Les sondages sont de plus en plus mitigés. Venu du diable vauvert, arrive au galop un journaliste sulfureux qui, lui, voit ce qu’il voit, au risque de déstabiliser le bonimenteur de l’Élysée, qui ne veut surtout pas l’affronter au deuxième tour. Et oh, bonheur ! Poutine, qui en a ras le bol de se faire empapaouter par les Américains, persuadé qu’après leur retrait d’Afghanistan et leur abandon de la Syrie, ils ne réagiront pas, décide d’en finir avec les provocations téléguidées (par l’État profond américain) de l’Ukraine ! L’occasion inespérée pour le maître des horloges de repartir en guerre, au nom du Droit, de la Liberté chérie, de la justice. Tous derrière moi, drapeau européen en tête. La patrie en danger, les Russes vont nous envahir, nous priver de nos RTT, aux armes, citoyens… etc… le tout relayé par les trompettes de l’apocalypse embouchées par les médias serviles de notre régime bananier…

Or, parallèlement, vous l’aurez sans doute remarqué si vous ne passez pas tout votre temps, hébétés, devant les télés publiques, la France ne va pas bien du tout. C’est l’Algérie qui nous ridiculise du soir au matin, notre dette qui atteint des sommets himalayesques, les couteaux fous et les voitures incontrôlables qui provoquent des hécatombes. Bref, tous les indicateurs sont au rouge, comme le soulignent les experts économistes. C’est alors que Zelinsky, le « président » Ukrainien toujours en poste faute d’élection dans le pays, rend une visite à l’ogre américain, visite qui devait se conclure par un accord sur les terres rares. Vous savez ce qui s’est passé. Une aubaine, que dis-je, un miracle en faveur de notre président, à croire qu’il a le c.. bordé de nouilles. Et c’est reparti comme en 14, nous sommes en guerre, la Russie va nous attaquer, il faut que l’Europe se réarme etc… etc…. L’Algérie ? La fermeture de C8 et NRJ12 ? L’insécurité ? La dette ? Les ZFE ? le gouvernement des juges ? Vous ne trouvez pas que ce sont des peccadilles à côté de la menace Russe ?...

Et le pire, c’est que sa cote remonte. A désespérer.