L’analyste politique espagnol Ruben Pulido, expert de la situation migratoire en Méditerranée, révèle les liens existant entre les ONG, qui amènent les immigrants clandestins en Espagne, l’organisation « The Oak Foundation » dirigée par George Soros et ses probables ramifications avec l’actuel gouvernement espagnol, dirigé par Pedro Sanchez, leader du Parti Socialiste (PSOE).

Les ONG « SOS Méditerranée » et « Médecins Sans Frontières » ont mis fin à leur fructueuse industrie, après des mois d’activité au cours desquels ils ont introduit des dizaines de milliers de migrants clandestins en Europe, en partenariat avec les « passeurs mafieux ».

Le changement radical de politique migratoire qui s’est produit en Italie et les décisions de Gibraltar et du Panama de retirer le pavillon à « l’Aquarius », l’ont empêché de reprendre la mer et il se trouve immobilisé au port de Marseille, abandonné par les deux ONG.

Actuellement une enquête est activée pour dénoncer toute une série d’irrégularités.

SOS Méditerranée avait été créée en 2015 grâce au financement apporté par « The Oak Foundation », appartenant à George Soros.

Milliardaire bien connu et à l’origine de nombreuses irrégularités qui ont frappé l’Europe depuis des années, notamment la Grande-Bretagne et la Grèce (Mon livre « Hold-Up sur l’Euro »).

Comment le premier ministre espagnol actuel pourrait-il être impliqué dans ce négoce illégal de traite d’êtres humains ?

La fondation déjà citée « The Oak Foundation » finance également « IE University » dont l’une des responsables est Begonia Gomez, épouse justement de Pedro Sanchez.

C’est sans doute la raison principale qui fait que le gouvernement espagnol ne participera pas à l’enquête sur les irrégularités existantes mais, bien au contraire, justifiera l’apparition de nouvelles organisations qui poursuivront et favoriseront ce trafic illégal d’immigration vers l’Espagne avec l’aide d’autres navires.

Les premiers à avoir révéler ces irrégularités et ce trafic fut le parti d’extrême droite « VOX » qui vient, pour la toute première fois, d’obtenir des élus lors des récentes élections qui se sont déroulées en Andalousie et participera au Parlement du nouveau gouvernement provincial.

Ce succès a attiré contre lui la vindicte du parti d’extrême gauche « Podemos » et surtout de la chaîne de télévision « Sexta », liée justement à l’extrême gauche.

Vox se joint au PP (Parti Popular), dirigé depuis peu par Pablo Casado, qui réclame des poursuites judiciaires contre le leader actuel de la Catalogne, Quim Torra, et son emprisonnement, en vertu de l’article 115 pour conspiration en vue d’une rébellion, suite à ses déclarations à Bruxelles pronostiquant un soulèvement armé, tel qu’il s’est produit en Slovénie (Souvenons-nous que cette guerre civile avait fait 62 morts et des centaines de blessés).

Pour la petite histoire, notre héros national Manuel Valls, s’est une nouvelle fois fait huer lors d’une « mini » conférence et il devient de plus en plus improbable qu’il maintienne sa candidature jusqu’au bout.