Quand ils n’ont rien à dire, alors les journaleux Se font interviewer par n’importe qui d’autre, Regardant leur nombril et à la queue leu leu Revivent de la Cène un repas des apôtres.
C’est ainsi que je vois Franz-Olivier Giesbert, Brassant l’air à grands coups de jolis moulinets, Et comme la culotte (...)