Avez-vous pris votre abonnement 2024 ? Non ! CLIQUEZ ICI !
Ou alors participez avec un DON


Découvrez des pages au hasard de l’Encyclo ou de Docu PN
A compter du 25 mai 2018, les instructions européennes sur la vie privée et le caractère personnel de vos données s’appliquent. En savoir +..

Frantz FANON : un traitre

, popularité : 6%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.
JPEG - 9.9 ko

Frantz FANON : un mémorial international a été édifié en son honneur en Martinique, où il est né le 20 juillet 1925. A Fort de France un boulevard porte son nom ainsi que des avenues dans le reste de l’Ile. En métropole des rues ont été également baptisées à son nom.

Mais qui est donc ce Frantz Fanon ? Un héros mort pour la France, un résistant face à l’ennemi de son pays, un personnage illustre dévoué à sa Patrie, un sportif, médaillé d’or aux JO ? Rien de tout cela : Frantz Fanon est un enfant de la République, qui doit tout à la France, et qui l’a trahi en se mettant totalement au service de l’ennemi, le FLN et l’ALN.

Il est mort d’une leucémie à 36 ans, le 6 octobre 1961, à Bethesda (USA), sous le nom d’Ibrahim Omar Fanon, après s’être fait soigné tout d’abord à Moscou, et il est inhumé en Algérie, selon sa volonté.

Fanon avait écrit : « Le sud des Etats-Unis est pour le nègre un doux pays à côté des cafés du Boulevard Saint Germain ».

Deux remarques : 1/ Il est certain que Fanon n’a jamais séjourné dans les états du sud américain car, alors, il aurait pu constater la différence de traitement concernant les « nègres » aux USA et en France.

2/ Les « nègres » résidants en métropole, à Paris, n’ont pas tous la chance de fréquenter le Boulevard Saint-Germain. La France lui avait offert cette chance. Si Frantz Fanon pouvait fréquenter Saint Germain c’est que la France lui avait permis d’effectuer des études supérieures, lui ouvrant la porte de la médecine, et lui permettant de devenir un psychiatre renommé.

Cette « Patrie » qu’il avait servie brillamment jusqu’à recevoir une citation par le général Salan.

Fanon c’est l’exemple même d’un descendant d’esclaves devenu, grâce à la France, une personnalité reconnue et qui trahi son pays pour se mettre au service de l’ennemi.

1953 : Il est nommé médecin-chef de l’hôpital psychiatrique de Blida (Algérie)

1954 : Fanon s’engage dans les rangs du FLN et de l’ALN.

Il est expulsé d’Algérie en janvier 1957 et rejoint le FLN à Tunis.

En mars 1960 il est nommé ambassadeur du gouvernement provisoire de la République Algérienne au Ghana.

Deux hôpitaux portent son nom en Algérie.

Voici son jugement sur l’Arabe colonisé : « C’est la colonisation qui entraîne la dépersonnalisation qui fait de l’homme colonisé un être infantilisé, opprimé, rejeté, déshumanisé, acculturé, aliéné, propre à être pris en charge par l’autorité colonisatrice ».

Je suppose que les Algériens sauront apprécier ce jugement !

Son essai, « Les damnés de la Terre », atteindra une certaine célébrité grace à la dédicace d’un autre salaud, Jean-Paul Sartre et son appel au meurtre des Français d’Algérie : « Il faut tuer. Abattre un Européen c’est faire d’une pierre deux coups : supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé. Restent un homme mort et un homme libre, le survivant ».

Né et mort trop tôt, Frantz Fanon aurait pu accéder à un portefeuille ministèriel, comme la Taubira, sous la présidence d’un François Hollande !

Voir en ligne : http://magoturf.over-blog.com/2016/...