Avez-vous pris votre abonnement 2025 ? Non ! CLIQUEZ ICI !
Ou alors participez avec un DON


ATTENTION pour 2026 les participations vont augmenter, les engagements actuels ne varient pas !
Découvrez des pages au hasard de l’Encyclo ou de Docu PN
A compter du 25 mai 2018, les instructions européennes sur la vie privée et le caractère personnel de vos données s’appliquent. En savoir +..

Vous êtes le 364ème visiteur(s) pour aujourd'hui pensez à vous abonner pour soutenir le travail du site !
Faites un Don/soutien régulier ou autre ! Soutien-Don


États-Unis-Ukraine : le tournant

, par  trumpfrance , popularité : 2%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

La Révolution conservatrice américaine a franchi un point de non-retour hier (2 mars), et pour le moins, a viré une bouée d’étape dans la régate de mise en place de la politique étrangère de Donald Trump.

Que des chefs d’état ou de gouvernement européens aient pensé faire un voyage à Washington pour « retourner » le président des États-Unis récemment inauguré, et à propos de la guerre en Ukraine dont il veut clore la course sanglante, montre l’inanité tant psychologique que culturelle ou politique de la « pensée » des générations qui sont arrivées au pouvoir en Europe.

Car enfin, de quoi s’agit-il ?

De cette réalité géopolitique : la Russie ne peut accepter à ses frontières une puissance militaire hostile ayant des moyens nucléaires à sa disposition. Mais aussi de la haine d’une partie de la population d’Ukraine pour les russophones du Dombass et de la « Nouvelle Russie ». Vladimir Poutine a toujours tenu à protéger, et à défendre les russes du Lougansk, du Donetz, de Zaparotye ou de Kherson, sans parler de ceux de Crimée contre l’acculturation forcée (la langue russe interdite), et contre le diktat politique de Kiev. La révolution orange de 2004 n’ayant pas suffi pour empêcher l’élection d’un ami de la Russie, les USA « Woke » mais surtout « mondialistes » ont renversé le président réélu Viktor Ianoukovytch par un coup d’état violent devant le Maïdan, suivi par les atroces mises à mort, à Odessa et Marioupol, de citoyens outrés par la négation de leurs votes et une constitution bafouée.

Cette situation de « pronunciamiento » contre une légalité démocratique, jointe à la menace d’une intégration de l’Ukraine dans l’OTAN, n’ont pas laissé le choix à Vladimir Poutine qui avait supporté pendant 8 ans les bombardements des villes du Donbass par l’artillerie lourde ukrainienne – et ce en dépit des accords de Minsk – qui firent près de 14.000 morts chez les civils. Les renseignements annonçant une offensive ukrainienne vers la Crimée à travers le Donbass lui imposèrent d’intervenir.

Ce fut le début, le 24 février 2022, d’une guerre dans laquelle la Russie engagea 150.000 hommes sur un front de 1500 km. Dès le 2 ou 3 mars 2022, l’Ukraine demanda l’ouverture de négociations. Des pourparlers débutèrent en Biélorussie puis se déplacèrent à Istanboul. Un traité était à la signature, dont les termes étaient acceptés par les deux parties, lorsque l’un des négociateurs ukrainiens fut assassiné par le SBU. Boris Johnson – premier ministre britannique- accourut alors à Kiev pour intimer l’ordre à Zélensky de rompre les discussions.

Ainsi fut engagée la véritable guerre qui se poursuit aujourd’hui.

Entre-temps, aux États-Unis, une tragédie menaçait qui durera huit ans. Donald Trump, dont la réélection fut volée en 2020, n’avait comme seul souci que le bonheur et la prospérité du peuple américain dans sa vie quotidienne, loin des régulations malfaisantes, des propagandes iniques, d’une Science devenue folle et d’une invasion migratoire devenant mortelle. Il avait tenté lors de son premier mandat de remettre l’Amérique sur ses deux pieds : un homme est un homme, une femme est une femme, la médecine doit soigner et non empoisonner ou surveiller le patient pour l’enfermer le cas échéant. Le simple « bon sens » devait présider à la vie des peuples, et en tout cas à celle du peuple américain.

La liberté d’expression, d’entreprise, et celle d’un homme pour sa vie quotidienne, dans la morale sous l’œil de Dieu, voici le credo qui nous guide depuis des millénaires et qu’il faut rétablir pour le salut de l’humanité.

Cette vision simple de la liberté individuelle dans la chaleur d’une nation et avec le choix du Bien contre le mal, est à la base de l’arrivée au pouvoir de cet homme qui s’est métamorphosé en dépit – ou grâce à – des épreuves et des anathèmes dont furent l’objet lui et sa famille.

Et certes, il est plus proche d’une Russie souverainiste et chrétienne qui accepte la libre entreprise et l’expression des opinions que d’un occident mondialiste et licencieux.

Alors quid de l’Europe entre ces deux pôles ? Quid des souverainistes européens ? Qu’est-ce qu’un conservateur en Europe ? Et où sont les patriotes qui se diluent à satiété dans une Union européenne qui devient totalitaire et très allemande ? l’Europe deviendra-t-elle sans rémission la « terre promise » de l’islam ?


Alors, Trump, a dû choisir : faire la paix en Ukraine ou abandonner la rédemption des américains ? Pour cela il y fallait la bonne volonté de la Russie et celle de l’Ukraine. Au départ il a parié sur elles et a acquis celle de la Russie. Mais il fallait aussi l’accord actif de l’Ukraine, et celui-ci a fait défaut.

Il n’avait plus que le choix entre la fidélité à des « alliés » européens dont il conteste la dérive qui les éloigne des États-Unis et donc la poursuite de la guerre de soutien à l’Ukraine avec la perspective de troubles intérieurs auxquels il ne pourrait se consacrer, ou, la rupture avec l’Europe – et peut-être l’OTAN – qui lui permettrait de signer un accord stratégique avec la Russie dont il partage la vision d’une civilisation commune. Devant l’agressivité de gens qui le haïssent, et la terrible médiocrité un président illégitime de l’Ukraine, il fallait rompre et choisir une autre voie.

Il l’a fait cette semaine. Il a refusé de couvrir les lamentables prétentions d’envoi de troupes anglaises et françaises en Ukraine pour une soi-disant mission de paix, et il a refusé de continuer à nourrir un golem qui n’a que la guerre pour survivre et s’enrichir.

Il y eut donc la mise en scène d’une pièce tragi-comique – Avec Zélensky le comique n’est jamais loin du tragique – lors d’une conférence de presse qui a permis de démasquer l’intransigeance de l’ukrainien et son irrespect pour lieu de pouvoir qui l’invitait à s’exprimer.

Ce fut fait, et bien fait. Ce qui a permis de lancer toutes les enquêtes nécessaires à la mise en pleine lumière de la corruption effrénée du régime de Kiev et des capitales européennes réunies.


La suite pourrait être un accord rapide avec Moscou, une guerre qui accélèrera pour prendre fin sur un démantèlement de l’Ukraine et une neutralisation de l’état qui en sortira.

Si par malheur l’Europe ne revient pas à la raison, entre dans cette guerre avec des troupes au sol, ou pire se permet d’user de l’arme nucléaire française – en dépit de l’interdiction qui en ai faite à l’exécutif par les textes – alors s’en sera fini de l’Europe, qui fut la terre des arts, des armes et des lois.
Georges Clément, président du Comité Trump France

Voir en ligne : https://www.trumpfrance.fr/%C3%A9ta...