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Bloc-notes : Laura et Mauranne, victimes de la lâcheté

, par  Ivan Rioufol , popularité : 7%
Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

Laura Paumier, 21 ans, et Mauranne Harel, 20 ans, sont les dernières victimes de la lâcheté collective face au totalitarisme islamique. Laura était élève infirmière, engagée dans le scoutisme. Mauranne était étudiante en médecine. Les deux cousines ont été l’une égorgée, l’autre éventrée, dimanche après-midi, gare Saint-Charles, à Marseille. Le tueur, Ahmed Hanachi, criait "Allah akbar" en plongeant son couteau. Il a été abattu par un réserviste en patrouille. L’État islamique l’a reconnu comme un de ses "soldats". Le Tunisien de 29 ans vivait clandestinement. Il avait été arrêté sept fois depuis 2005 pour de la petite délinquance, sans avoir jamais été expulsé. Deux jours avant qu’il n’assassine, la canaille avait été interpellée pour vol, à Lyon, puis relâchée. Laura et Mauranne sont mortes des renoncements de la République et des belles âmes à protéger les citoyens de l’immigration de peuplement et de l’islam conquérant qu’elle amène.

L’islam originel traîne avec lui l’intolérance, la brutalité, le sexisme, le rejet du juif, du chrétien. Le Coran pris à la lettre permet cette haine. Les nombreux musulmans qui se sont émancipés des sourates obscurantistes en sont aussi les victimes. Mais après quarante ans d’une immigration maghrébine et africaine incontrôlée, la "douce France" devient méconnaissable. Un vieux prêtre a été égorgé dans son église, au nom d’Allah. Près de la moitié des Français juifs envisagent d’émigrer à cause de leur insécurité. La violence antisémite y est la plus forte d’Europe, avant la Suède et l’Allemagne (1). Le mépris des femmes est l’ordinaire des cités et quartiers islamisés. Une envie d’en découdre avec les "Français" habite des jeunes, désassimilés sous l’effet du repliement communautariste et embrigadés par le salafisme. La guerre civile s’installe dans les esprits. Mais ces observations se heurtent aux mensonges du "vivre ensemble".

Ni l’état d’urgence ni la loi antiterroriste, votée mardi, n’empêcheront d’autres tragédies si rien ne vient rompre avec ce que l’historien du droit, Jean-Louis Harouel, appelle "la religion des droits de l’homme" (2), imposée depuis des décennies.

Voir en ligne : http://blog.lefigaro.fr/rioufol/201...