Il prononce ses vœux, occultant tout aveu,
Et d’un ton si plaintif qui commande les pleurs
De le voir s’en aller et mérite des fleurs,
Lui qui s’est tant gaussé de tous nos désaveux !
Il ment sur son bilan concluant sa défaite,
Car le chômage n’a pas inversé sa courbe
Lui qui tant se vantait qu’elle se désembourbe
D’un traficotage qui l’avait contrefaite.
Parlant de protection et de sécurité,
Il ne verra pas le ver qui est dans le fruit :
La poutre est dans son œil, non dans celui d’autrui
Et l’islamisation tue notre chrétienté.
Il n’a pas vu non plus que notre Éducation
Est phagocytée par son arabisation,
Car au sein de l’État sa préconisation
Sera conduite avec plus d’accélération.
Cravate de travers, paupières affaissées,
Il oublie la Sécu aux caisses évidées
Il croyait de mensonge épouser nos idées…
Il met enfin là un terme à notre odyssée. (31/12/16)