Il faut donc qu’elle lâche en un feu d’artifice
Ses dernières flèches encore empoisonnées :
Elle n’en aura pas fini de maléfices,
Elle a fait pis que pendre durant ces années.

Son sourire contrit cache sa déception :
Et non ! Elle n’est plus dans ce gouvernement…
Alors, de ci de là, sans plus de contrition
Elle crache un venin sans plus d’atermoiement.

Elle vide son sac encore plein de haine :
Ciotti en est bien la cible privilégiée…
Elle se veut toujours virulente, la naine,
En ses rodomontades alors refugiée.

Et crachant le venin qu’elle avait ruminé
Quand il lui fallait quelque semblant de décence
Encore à l’Assemblée, l’atavisme enchaîné,
De sa liberté elle reprend la licence.

Les attaques pourront désormais bien saillir
De tout son racisme toujours exacerbé :
Elle pourra alors, et sans jamais faillir,
Vitupérer contre qui voulaient l’adouber. (28/01/16)