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Trump, stop ou encore ? ENCORE !

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Cet article provient d'une source externe à NJ sans autorisation mais à titre d'information.

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L’avis de Jean-François Touzé N’étant pas de ceux qui placent leurs espoirs sur des supports étrangers et se choisissent des modèles politiques ailleurs que sur le sol national et européen ou dans le souvenir exemplaire des grands hommes qui firent notre civilisation, je ne suis pas trumpien, pas plus que je ne suis poutinolâtre, même si je ne conçois pas l’avenir continental sans étroit partenariat avec la Russie. Je souhaite pour autant ardemment la victoire ce mardi 3 novembre de Donald Trump et que lui soit donnée la possibilité d’accomplir un second mandat à la tête des États-Unis d’Amérique. Non que je sous-estime le poids des invariants diplomatiques qui sont ceux de la Maison blanche et des puissants tropismes industrialo-militaires du Pentagone. Pour Washington, l’endiguement du "Heartland russe et la division de l’Europe seront toujours davantage qu’un choix et bien plus qu’une option, une ligne de conduite obligée, comme l’est tout autant l’exorbitant droit d’extraterritorialité qui permet à la justice américaine d’intervenir partout dans monde. Pour autant - et puisque seule nous guide la recherche de notre intérêt national - nous n’ignorons pas que l’arrivée de Biden, vieil homme faible et sous influence, à la Présidence marquerait le renforcement de l’offensive atlantique en Europe de l’est, la réplique des années Obama-Clinton, le retour au premier plan du wilsonnisme le plus effréné, et celui de la funeste politique interventionniste anti-européenne de l’ancien conseiller à la sécurité de Jimmy Carter, Zbigniew Brzezinski, le tout étant aggravé par la pression des lobbies des droits de l’homme et des minorités auxquels le candidat démocrate soutenu par le gauchiste Sanders devrait son élection, lobbies qui ne manqueraient pas alors de réclamer avec force et vigueur leurs dividendes, non seulement dans les cinquante états de l’Union mais sur l’ensemble de la planète conçue de tout temps par les progressistes globalistes de Washington comme leur propriété. Trois autres raisons nous poussent à espérer la réélection de Trump. 1- La victoire du Président sortant, marquant une défaite cuisante de l’établissement, serait un signal fort du retour au premier plan des "petits blancs" de l’Amérique profonde ce qui aurait, en ces temps obscurs, valeur de symbole et produirait une onde de choc salvatrice a travers le monde civilisé. 2- La victoire de Trump serait aussi celle des libertés populaires face au totalitarisme du politiquement correct. 3- Les occasions de nous réjouir devant un écran de télévision étant rares, le spectacle des mines déconfites, hagardes et livides des commentateurs "conformes" qui, depuis des mois avec un accroissement significatif ces derniers jours, se déchaînent et déversent leur haine dans une folie incantatoire et hystérique, nous offrira un moment de joie et de satisfaction intenses. Le slogan "America great again", on l’aura compris, n’est pas dans notre propos. Mais l’écroulement de l’administration multilatéraliste, wilsonnienne et bien-pensante de Washington par la victoire de Trump, serait un signal et une chance pour notre Europe.

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