Avec la non-candidature de Bouteflika à sa succession, l’Algérie rentre en fanfare dans la démocratie et la liberté, et les Algériens de la diaspora se préparent à retourner dans leur pays, pour le reconstruire, comme ils ont reconstruit le nôtre, l’Europe et l’Amérique… Je suis content pour eux, et, en même temps, une terrible angoisse m’étreint : qu’allons-nous devenir sans eux ?