Né à Oran, André Pierné, fit sa scolarité à l’école de son quartier de la Marine, puis au lycée Lamoricière, où il côtoya Mathieu Saint Laurent (devenu par la suite Yves SL). Après le bac sciences et quelques années de fac, c’est 27 mois de service militaire qui l’attendaient pour la guerre d’Algérie. En 1962, ce fut le retour en France, où sa formation scientifique le dirigea vers les laboratoires de recherches. Ainsi, il travailla aux États-Unis, en Angleterre et en Hollande. Par la suite, il se tourna vers la communication et devint grand reporter pour les TV françaises et étrangères, qui s’arrachèrent ses films de sports mécaniques extrêmes. Son ardeur dévorante pour l’aviation l’amène souvent, à prendre l’air aux commandes d’avions ou d’hélicoptères.

Résumé  : Nos arrières grands-parents quittèrent la Lorraine vers 1856, pour l’Algérie. Le Gouvernement du Prince Napoléon louait les mérites de ce nouvel Eldorado et appelait les candidats pour peupler ce pays. Sur place, rien ne correspondait aux promesses faites ! Tout était compliqué et la maladie guettait les plus faibles. Au fil des années chacun trouvait tout de même sa place, dans le bled ou les villes. Ainsi mes ancêtres s’établirent à Oran, mais trois guerres ramenèrent en France : grand-père, père et fils, pour défendre la Mère Patrie, à quarante ans d’intervalle. Mon frère et moi, fûmes élevés dans une famille méritante, avec une mère concertiste, amie de Francine Camus (la femme d’Albert) et un père, ayant réussi à devenir pharmacien. Description de l’ambiance et des passions...