Notre petit Macron ne sera jamais grand,
Car rien ne le grandit et, bien tout au contraire,
De nos braves Français, allant les dénigrant,
Il traîne un boulet dont il ne peut se soustraire.
Ce petit fanfaron se croyait parvenu
Aux portes de l’Olympe en marche accélérée…
Le voilà désormais et soudain mis à nu
En débitant tout haut sa puante diarrhée.
"Fainéants, cyniques" et jusques aux "extrêmes",
L’insulte à la bouche, le voilà rétamé,
Au ras des pâquerettes, face de carême ,
Il n’ira pas plus loin et déjà inhumé.
Une vaine gloriole a détruit son cerveau :
Le voilà blasphémant ceux qui l’ont bien suivi…
Il fallait des moutons, il lui fallait des veaux,
Chacun aura compris sans aucun préavis.
Elle s’est trop grossie, notre pauvre grenouille :
La voilà ballottée dans l’œil d’un bon cyclone,
Aspirée tout à coup dans sa folle vadrouille,
Jetée comme une eau sale de quelque gorgone. (9/09/17)