Trois médecins de l’armée américaine font remonter l’augmentation anormale de maladies graves dans l’armée en 2021 après le début de la vaccination contre COVID. Les informations de morbi-mortalité transmises par des avocats en audience sénatoriale sont particulièrement inquiétantes.
Lundi 24 janvier, lors d’une audience du sénateur Ron Johnson sur le thème “COVID-19 : deuxième avis” qui a duré cinq heures, l’avocat de l’Ohio Thomas Renz, représentait des clients poursuivant les mandats de vaccination. Trois médecins de l’armée américaine ont lancé l’alerte sur les données médicales de l’armée, il s’agit :
du lieutenant-colonel Dr Theresa Long Deo,
du Dr Samuel Segal
du lieutenant-colonel Peter Chambers, chirurgien de vol.
L’avocat Thomas Renz a présenté les données médicales issues de la base de données du département de la Défense (DoD) qui brosse un tableau choquant et troublant de la santé des militaires en 2021. Les médecins ont témoigné de ce qu’ils ont vu mais aussi des informations qu’ils ont agrégées à partir des bases de données internes au DoD. L’un des médecins qui témoigne affirme qu’il est presque impossible d’obtenir une subvention pour examiner tout ce qui concerne les vaccins parce qu’ils sont considérés comme parfaits, sûrs et efficaces.
Pourtant, voici les informations qu’ils font remonter pour l’ouverture d’une commission d’enquête nationale : Le nombre de maladies déclarées dans l’armée en 2021, tout critère confondu, était en moyenne de 1,7 millions de 2016 à 2020. Cette incidence du nombre global de pathologies est passée à 22 millions sur les 11 premiers mois de 2021. Alors que 2020 était l’année du COVID, ce n’est qu’en 2021 qu’a explosé la morbi-mortalité des militaires, juste après la vaccination de masse. Rappelons que l’armée américaine est vaccinée à hauteur de 96% au dernier trimestre 2021.
L’incidence du cancer neurologique en 2021 est particulièrement inquiétante : « les problèmes neurologiques qui affecteraient nos pilotes restent un souci, nous observons une augmentation de plus de 1000% (en 2021), c’est 10 fois plus que les années précédentes, nous passons de 82 000 cas par an (moyenne de 2016 à 2020) à 863 000 cas en un an ».
Leigh Dundas, avocate des droits de l’homme, qui travaille avec Thomas Renz, explique sur la chaine SteelTruth.com qu’il y a une augmentation de 1135% des cas pathologiques dans l’armée en 2021 par rapport à la moyenne des 5 années précédentes, du jamais vu.
Les trois médecins militaires ont également montré – à travers l’utilisation de la base de données d’épidémiologie médicale de la Défense (DMED) que les fausses couches ont augmenté de 300% dans l’armée en 2021 par rapport à la moyenne des cinq années précédentes. Celle-ci était de 1 499 cas par an alors qu’au cours des 10 premiers mois de 2021, on notifiait 4 182 cas.
Outre la flambée des diagnostics de fausses couches (code CIM O03 pour les avortements spontanés), on observe une augmentation de près de 300 % des diagnostics de cancer passant de 38 700 cas par an en moyenne sur cinq ans (2016-2020) à 114 645 cas au cours des 11 premiers mois de 2021.
D’autres chiffres non mentionnés dans l’audience des avocats mais transmis au média The Blaze, indiquent :
une augmentation de 269 % pour les infarctus du myocarde,
une augmentation de 291 % pour les paralysies de Bell,
une augmentation de 156 % de malformations congénitales (enfants de militaires),
une augmentation de 471 % pour l’infertilité féminine,
Une augmentation de 467 % pour les embolies pulmonaires.
L’un des médecins alerteurs atteste être gravement préoccupé de voir de jeunes soldats atteints de cancers métastatiques soudains, de maladies auto-immunes et de troubles cardiaques et circulatoires qui ont poussé de nombreux soldats à abandonner divers programmes de formation. Les médecins alerteurs mais également d’autres médecins militaires qui ont remarqué l’incidence anormale de pathologies graves à partir de la vaccination des armées ont été intimidés pour ne pas faire de recherches à partir des données médicales de l’armée.
Les avocats qui plaident contre les mandats de vaccination auprès du sénateur Ron Johnson, indiquent que le DoD manipule frauduleusement les données statistiques de santé de l’armée américaine à la baisse. Leigh Dundas de préciser : « En Août (2021), qd on recherchait la myocardite aigüe sur le site du DoD, il y avait 1239 cas, mais maintenant quand on le consulte, il n’y en a plus que 307. La même avocate rajoute qu’en janvier 2022 (La vidéo date de fin janvier 2022), il y avait 176 cas et puis comme par magie, ils sont maintenant descendus à 17. Il y a un mot pour cela, ce n’est pas de la suspicion ».
Les avocats utiliseront à un autre moment les mots de corruption et de manipulation, ils préciseront également que la vaccination de l’armée a été rendue obligatoire alors que ce sont seulement 12 soldats qui étaient morts du COVID. Au regard des informations qui sont transmises par ces lanceurs d’alerte, on peut s’attendre à ce que les victimes dans l’armée (et dans le civil) soient des milliers de fois plus importantes que celles provoquées par le COVID.
Thomas Renz dénonce le fait que Fauci et toute son équipe disaient à la même date (2021) que les personnes hospitalisées étaient à 99% des non vaccinés alors que la Base de données du DoD indiquait que 71% des nouveaux cas étaient des vaccinés complets et que 60% des hospitalisations étaient des vaccinés complets.
Cette affaire, soulève la question, d’un réel désir de nuisance avec la vaccination qui a été orchestrée artificiellement depuis le début, les médicaments efficaces volontairement écartés des protocoles de prise en charge et les campagnes de vaccination rendues obligatoires et suivies de sanctions pour les non vaccinées.
Quel prix faudra-t-il payer pour qu’éclate enfin la vérité ? Les données de surveillance épidémiologique de l’armée française et d’autres pays européens feront-elles apparaître les mêmes désastres ?