Le regard se voulait toujours plus insistant,
La paupière pourtant servait de rabattant,
Ses deux ailes d’aiglon le portaient jusqu’aux nues…
Coupées par le peuple n’y sont pas parvenues.
Il a donc repris le chemin de Compostelle,
Se mêlant à la foule de vieux pèlerins :
C’est au bord du chemin qu’il perdit ses bretelles,
Cela suffit pour le jeter dans le pétrin.
Son regard s’éteignit sous tous les hurlements
D’un peuple qui ne voulait qu’être reconnu
Et Macron refroidi inéluctablement
Se vit tout à la fin être bien mis à nu.
Car il n’en fit sans cesse que bien pis que pendre :
On l’a vu embrassé par ces deux beaux négros…
Cet instant merveilleux où il se laissa prendre
Dans un embrasement au rythme d’allegro.
Macron sera pendu : il faut bien qu’on le pende !
Il a profané sa fonction de Chef d’État :
Et il vaut mieux très tôt plutôt que l’on attende
Ses frasques reconduites de duplicata. (22/12/2018)