Je suis désabusé de voir les djellabas
Défiler dans les rues de notre belle France :
Ils en sont devenus sans aucun branlebas
Le fruit fort bien pourri de ma désespérance.
Ce sont eux les maîtres de notre destinée,
Ils l’accomplissent sans devoir jamais forcer,
Se développant en myriades bourgeonnées,
La France les protège pour nous enfoncer.
Personne n’a jamais pris la juste mesure
De ce qui se passait de par son abandon :
Il est trop tard puisque c’est bien de notre usure
Que jamais personne n’a demandé pardon.
Nos enfants vivront sous la loi de la charia…
Qui pourrait les guider sans jamais coup férir ?
On ne doutera plus qu’un "Ave Maria"
De nos valeurs pourrait bien tout reconquérir.
Ce sont bien pourtant tous ces pleutres politiques
Qui ont démissionné devant cette conquête…
Il est trop tard pour que quelque thérapeutique
Nous guérisse de cette nouvelle étiquette. (5/05/2019)