Macron n’en finit pas de fantasmagories :
Il me tourneboule d’ineptes fantaisies,
Il fonce droit dans ses allégories
Croyant en savourer le reste d’ambroisie.
Macron me fait penser à ce petit gamin
Qui prenait ses rêves pour des réalités :
Le pauvre ne voyait pas que ses lendemains
Ne seraient rien que de grandes calamités.
Vivant dans l’utopie, marchant près de ses pompes,
Notre pauvre gamin n’avait pas vu venir
Que tous les rêves faits bien trop vite s’estompent,
Car qui en effet peut prévoir son avenir ?
Macron ne vit toujours qu’en un état second :
Il va au gré des vents, allant à toute allure
Sans voir que c’est toujours un ultime fourgon
Qui dévoilera bien son ultime voilure.
Pauvre Macron quand même, marchant sur le feu,
Qui ne sent pas encore l’odeur du brûlé :
Le nez hélas bouché, l’imprudent boutefeu
N’a pas encore vu qu’il était esseulé ! (23/01/2019)