Ramón Pérez-Maura, ABC — Le contraste est étonnant, entre le désamour des Espagnols pour les institutions européennes tel que le révèlent plusieurs études, et l’absence en Espagne de mouvements eurosceptiques pouvant espérer conquérir ne serait-ce qu’un seul des 54 sièges à pourvoir le 25 mai prochain. (...)